Alors, y'a une mode rigolotte que parfois j'aime assez, et que parfois je déteste.
Vous prenez une histoire, vous en retirez juste l'essence, et vous changez tout le reste.
Dans PDLE édition 2018, Will Robinson devient une petite andouille pas très fut'fut', le professeur John Robinson devient un militaire bas du front qui s'éloigne de sa famille, Judy Robinson devient... Noire ? Et est issue d'une précédente liaison du docteur Maureen Robinson, et... Et bien la seule qui ne change pas c'est Penny.
Ha bah, j'allais oublier : le Major Don West (qui était joué par l'extraordinaire Matt LeBlanc) est remplacé par un espèce de Mécano un peu couillon (oui, bon, le Major aussi était un peu couillon, mais il apportait son sel à l'histoire d'une autre manière); et comment ne pas citer le Docteur Zachary Smith qui change carrément de sexe, et même de nom ! (Ou plus exactement, son nom est "volé")
Brreeeeeefff. Fini l'histoire du petit génie qui fabrique des Robots, cette fois, les robots, ils sont Aliens et ils veulent récupérer des affaires à eux, donc ils cassent tout les jolis plans de l'humanité dans leurs rêves de colonisation d'Alpha du Centaure (si je me goure pas de nom).
Bon... Bon bon bon...
Mwi, mais non... A la fois j'aime bien, mais à la fois je me dis : "putain les mecs, arrrrrêtez de voler des noms pour profiter de leurs notoriétés là, c'est insupportable", c'est comme le jeu "Prey" d'Arcane Studio qui profite juste de la notoriété d'un vieux jeu qui n'avait rien à voir, tout ça pour se vendre mieux.
Le mensonge et la malhonnêteté ne connait pas de limite...
M'enfin bon. PDLE 2018 est sympa, mais je continue à préférer le film.