Voilà, c'est fini.
Et au bout du 13e épisode de la 7e saison, une question: comment faire mieux ?
Je n'ai pas vu the wire (pas les tomates, pas les tomates !), mais la tension présente lors des deux dernières saisons, la proximité de l'abyme, le suspens étouffant qui s'installe petit à petit, me fait dire qu'il sera difficile à une autre série de passer après celle-là en matière de visionnage.
J'avais mis un 9 à la série, ayant fait une pause après 4 saisons à suivre la brigade de choc et sa morale borderline.
Je passe (facile) à 10 vu l'arc narratif qui se déploie tout au long de ces sept saisons, sans incohérence, qui auront dressé le portrait du Bad Guy définitif: Vic Mackey.
Shawn Ryan s'installe facile entre Scorcese (la conclusion) et Shakespeare (la caractérisation des personnages et leurs rapports faits de confiance, doutes et trahisons) avec cette série.