Parcours initatique en mode after-pandémide mondiale, pas le covid mais la rouge. Le nom claque. Le virus lui, n'affecte que les plus de 14 ans mais ça tombe raide. Une tâche sang, de la toux. Game over. Cela fait du monde en moins sur la planète terre et en particulier en Sicile - pas en Italie, la nuance à du sens - où est racontée l'histoire. Celle d'Anna, qui en plus de devoir gérer un quotidien postapocalyptique un minimum tendu, doit partir à l'aventure. Sur les pas de son petit frère, fraichement enlevé du matin.
L'occasion d'avancer ( un peu ) et de grandir ( beaucoup ). En chemin, la vision par delà la vision. Une société reconstruite à bout de bras d'orphelins, de bandes, de meutes. Certaines. Une. Sous l' influence d'une rare survivante de plus de 14 ans. Un démon. Derrière les visages poupons, retour à la nature. Sa cruauté et on son mal gratuit, aléatoire, fou, imprévisible. Animal.
Arte insiste, ce programme comporte des scènes déconseillées au public jeune ou sensible. Le futur promet. Il a de grands couteaux. L'auteur du livre sur lequel la série est construite, nous le dit tout net : "la bonté envers d'autres est une faiblesse". A Anna, et aux autres rescapés, de vendre d'autres promesses.
L'amour
Les mots
Les moments de grâce. Sublimes et portés par la magnifique photographie de l'entreprise. Un cosmonaute. Un éléphant sur une plage abandonnée. Toujours le fond de la piscine. un volcan endormi.
Le soleil, qui continue à se lever.
L'ami Ricoré.
8/10.
Rien d'extraordinairement nouveau, le thème a déjà été raconté. Mieux peut-être. Une histoire de mouches. Cependant c'est fait d'une belle manière, tout en finesse de brutes, tout en contemplation de pieds. Tout en éclat de peinture, bleu mer.