*Arrêtez vous à l'épisode 19*
Cela permet d'avoir une saison satisfaisante, en finissant sur cet épisode qui apporte pas mal d'explications sur l'intrigue principale.
Le fait est qu'à partir de l'épisode 20 l'animé part en vrille et gâche un peu ce qui a été fait jusque-là.
Pourquoi j'ai adoré Darling in the franxx
(jusqu'à l'épisode 19 hein) :
1) C'est coproduit par le studio CloverWorks
- Ce studio a produit un tas de pépites : SpyXFamily, ShadowsHouse, PromisedNeverland, Horimiya, F̶a̶i̶r̶y̶T̶a̶i̶l̶ (tout le monde fait des erreurs)
- Leurs animés ont une grande finesse d'écriture, avec des personnages attachants et hauts en couleurs
- Leur style est perché, mais il mélange avec justesse les moments tranche-de-vie et ceux d'action ce qui donne un bon rythme à leurs histoires
2) C'est une très bonne romance (un peu sexy)
- Ok, les positions dans le FranXX font sourire, mais c'est justement une métaphore du sexe et ça fait sens par rapport à l'intrigue. Cela marque une dualité reproduction/immortalité (leur métaphore utilise d'ailleurs les noms des organes reproducteurs des fleurs : pistil et étamine)
- Je trouve la relation des 2 personnages principaux mignonne et touchante.
- Il y a toute une thématique sur l'acceptation de la différence qui ajoute son petit plus (et j'avoue avoir versé une larme à l'épisode 13)
3) C'est une très bonne série de SF
Le début de la série me laissait dubitatif à cause des méchas qui rappellent fortement la série Transformers (je n'aime pas les séries à méchas).
Pourtant ces méchas bien que faisant partie de l'histoire n'en sont pas le centre : la véritable intrigue tourne autour de la relation du groupe.
Bien que le début de l'histoire soit un peu déconcertant, c'est un animé qui en vaut la peine pour tous ceux qui aiment les animés qui sortent des clous.