Raditz atterrit sur Terre avec des révélations, par exemple, que Goku est un extraterrestre.
Il est vrai que des séances de hurlements et de fixations dans le blanc des yeux s’étalant sur plusieurs épisodes avant d’enfin porter un coup puisse ne pas être captivant. Il est vrai que les enjeux fort schématiques n’aident en rien. Il est vrai que la mécanique des arcs narratifs excessivement itérative puisse ne pas être passionnante. Il est vrai que les transformations successives ont de quoi lasser. Néanmoins, la mythologie et les personnages (du simple faire-valoir aux némésis charismatiques) font ressortir une irrésistible (et surtout aveuglante) nostalgie.