J'ai tout d'abord donné une note de 7 à Flower of Evil mais j'ai ensuite augmenté cette note qui va surtout au jeu de Lee Joon-gi. Non pas que la distribution soit mauvaise, le casting était bon mais lui, il a mis la barre très haut et le réalisateur a eu la main heureuse en le choisissant. Et l'acteur a bien compris la complexité du rôle.
L'atelier - ô combien ce décor est ambivalent : inquiétant et chaleureux à la fois - a tenu également une belle place, aussi surprenant que cela puisse paraître. Enfin, à la fois thriller, psychologique, le diable a pris des allures de bon père de famille avec une fillette qui a su ouvrir la porte du monde hermétique de son père.
Pas déçue. A revoir ? Certainement.