Critique objective-subjective

Un jour de mauvais temps, vous traînez sur Netflix à la recherche de "je ne sais quelle série" qui pourrait vous remonter le moral. Un truc drôle, pas prise de tête. Puis apparu "Good Morning Call".

L'affiche est rose bonbon à souhait, à défaut, vous vous dites "Pourquoi pas?". Pas spécialement habituée aux séries cul-cul la praline, c'est donc par hasard si je suis tombée sur ce drama japonais, et en toute objectivité que je me permets d'écrire une critique. Si je devais uniquement juger les acteurs, le scénario et tout ce qui fait une série en général, j'aurais du lui attribuer la note de 1/10 (parce qu'on ne peut pas mettre zéro). Les acteurs surjouent, ils sont littéralement mauvais, il font tout un cinéma pour trois fois rien et tentent péniblement de faire ce qu'on leur a demandé. L'histoire est débile puisque tout droit tirée d'un manga destiné pour les filles (oui, vous imaginez aisément le niveau au raz des pâquerettes): "Il m'aime, il ne m'aime pas, je l'aime, non je ne l'aime pas, etc." Les féministes passeront leur chemin car l’héroïne est soumise au possible et donne envie de lui mettre des claques.

Par contre, si (comme moi) vous ne souhaitez faire aucun effort intellectuel après une longue journée de boulot, et si vous appréciez de temps en temps chier des arcs-en-ciel (citation prise d'une autre critique), cette série mérite un 8/10. Vous pourrez au passage saliver sur des gros plans de bouffe jap' qui vous donneront subitement envie de vous mettre à cuisiner des ramens.

Suite à ces observations, mon 4/10 me semble raisonnable et objectif.