le 27 nov. 2024
Olala...
Les séries de Taylir Sheridan, c'est... particulier. Celle-ci ne fait pas exception. Tout pousse à hurler : masculinité ++ où les femmes sont soit dangereuses soit débiles (toujours jolies et souvent...
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Bon ! Landman était un gros coup de coeur au visionnage des 3/4 premiers épisodes. La promesse était alléchante : on y relate des parcours dans le cadre de l'industrie du pétrole, du PDG aux ouvriers qui commencent leur journée à 5 du mat'. Ca n'est évidemment pas un documentaire mais les premiers épisodes arrivent à dépeindre ces ambiances entre les salons feutrés d'un country club où se rencontrent des patrons millionnaires aux files d'attente de drive-in dans un pick-up pour les ouvriers qui viennent chercher leur café avant le début de la journée. Ca partait bien... On y relate une vie dure, rémunératrice (pour tout le monde) mais dangereuse (plus pour certains que d'autres).
Sur ces premiers épisodes, on y ajoute une frange de fiction avec l'introduction d'un cartel qui vient générer un peu plus romanesque à l'ensemble...
Ca fonctionne.
Et puis, assez curieusement, on y introduit des personnages féminins plus que caricaturaux qui viennent en contrepied de tout ça : la fille du personnage principal, son ex-femme et une avocate hyper acérée. Puisqu'on est dans la caricature, jouons sur la plastique, la beauté et le caractère résolument bébête de ces personnage (sauf l'avocate qui est une autre forme d'exagération). Et là, non seulement ça casse la promesse du départ mais la description de ces femmes me choque : c'est du grotesque... Arrivent ensuite d'autres éléments scénaristiques complètement WTF comme l'intervention de la garde nationale pour me faire définitivement décrocher. J'ai pas compris...
Bref tantôt "sérieuse" tantôt clownesque : la série ne décolle pas et perd son spectateur.
Créée
le 14 janv. 2025
Critique lue 671 fois
le 27 nov. 2024
Les séries de Taylir Sheridan, c'est... particulier. Celle-ci ne fait pas exception. Tout pousse à hurler : masculinité ++ où les femmes sont soit dangereuses soit débiles (toujours jolies et souvent...
le 8 janv. 2025
Alors autant j'apprécie un certains des autres oeuvres de Sheridan, en passant de côté certains aspects un peu trop virilistes pour du guilty pleasure assumé, autant là je peux pas passer outre,...
le 14 janv. 2025
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