La catastrophe est juste à côté de nous et portant nous ne faisons rien pour éviter cela. Nous refermons le frigo dans l'espoir que la catastrophe disparaissent d'elle-même ou qu'elle se produit loin de nos yeux. En 18 épisodes , Love, Death and Robots critique l'humain et son rapport à la nature, à l'art, à la drogue (enfin je crois) ou même les humains entre eux. Se présentant comme une anthologie à la manière d'un Twilight Zone, la série nous offre 18 courts-métrages tous d'une animation différentes allant d'épisodes dignes de trailer de jeux-vidéos qu'on voit chaque année à l'E3 à d'épisodes avec des animations à la sauce Pixar. Une anthologie mélangeant comédie, drame ou encore action pour nous envoyer des messages peut-être trop vus et revus.
Mais cela aura suffit à remplir mon week-end avec gêne, sourires aux lèvres et une sorte de dépression (ce broyage de noir que l'on fait après chaque visionnages d’œuvres dystopiques).