4 points pour le divertissement.
Mais que dire de plus.
Un pilote qui frole le ridicule : avions qui tombent du ciel comme des feuilles une fois privés d'electricité. Vetements visiblement industriels (semelles caoutchouc, doubles coutures, etc...) alors que l'humanité est revenue au XVIIe depuis 15 ans, dialogues surjoués, et j'en oublie.
L'épisode 2 ne manque pas non plus de petites choses bien enervantes.
Reste Giancarlo Esposito, toujours convaincant dans le rôle du méchant, et la petite héroine, à la fois charmante et tête à claque... pas bien lourd pour un budget pareil.