We Never Learn
6.5
We Never Learn

Anime (mangas) Tokyo MX (2019)

Les fondamentaux d'une série harem gag soft mais très coquine, et c'est efficace !

We never learn (comprendre "Nous n'arrivons pas à apprendre") est une adaptation d'un gag manga à l'ancienne avec un format harem d'un garçon pour cinq filles.
Je n'aime pas la cohorte d'animés ecchi et harems. Rien que Konosuba, à part de temps en temps Aqua, les personnages ne me font pas rire, à aucun moment même. Les grandes exceptions, c'est Love x dilemma / Domestic girlfriend c'est Go-toboun no Hanayome / Quintessential quintuplets dont j'ai vu la première saison en animé et que j'ai lu en entier en manga. Nisekoi, j'ai eu une première impression sévère à cause des premiers épisodes, mais mon jugement pourrait être plus indulgent finalement. Pour les animés qui adaptent des mangas comiques sur la relation amoureuse, j'ai bien aimé la première saison de Quand Takagi me taquine, mais la deuxième saison m'a paru faiblir, seule la première saison a un équilibre parfait dans les émotions et les choses à exprimer du point de vue de Takagi selon moi. J'ai adoré la première saison de Kaguya-sama / Love x War, mais si j'ai encore bien aimé la seconde j'ai trouvé que là encore il y avait une baisse de niveau. Pour un harem qui joue moins sur le comique, j'apprécie aussi My comedy romantic wrong as expected.
Et donc voici We never learn. Il s'agit clairement d'un gag manga, il y a un développement des personnages, une psychologie, des révélations sur leur vécu, etc., mais il ne faut pas s'attendre à des phases sérieuses suivies. C'est vraiment le comique qui prédomine et les prétextes à créer une situation drôle. Les personnages sont stéréotypés, basiques. Ceci dit, ils sont attachants et il y a un arrière-plan progressivement approfondi les concernant.
Le point de départ du récit est invraisemblable : Yuiga Nariyuki n'était pas un élève aux brillantes aptitudes, mais la régularité de son travail à payer, il n'est pas un premier de classe dans une quelconque matière, mais il est un des premiers pour la moyenne générale. Son sérieux est apprécié, il vient d'ailleurs d'une famille pauvre qui vit dans une maison en bois, la mère seule élevant quatre enfants qui dorment avec elle dans la même pièce. Yuiga Nariyuki est l'aîné de la famille, il y a une première soeur, puis deux petits jumeaux malicieux fille et garçon. La maman s'appelle Hanae et est malicieuse également. Seule fausse note, la première soeur cadette qui fait une fixation sur son frère, mais qu'on ne voit quasi jamais sur l'ensemble des deux premières saisons, y compris quand l'action se déroule chez Yuiga Nariyuki.
Et donc ce Yuiga Nariyuki qui aspire à travailler avec une bonne situation pour soutenir sa pauvre famille subit un chantage éhonté de la direction qui lui promet une recommandation pour les meilleures universités s'il accepte de devenir le tuteur de deux, puis trois élèves du lycée.
Le premier épisode nous fait découvrir les deux premières élèves. Nous avons une génie avec une sensibilité très fine en Littérature : Fumino Furuhashi qui vient d'une famille très riche et renommée dans le domaine scientifique, mais la mère de Fumino est morte, le père plutôt absent, et Fumino


rêve en littéraire de mieux connaître les étoiles, ce qui fait qu'elle


veut devenir meilleur en maths et dans les matières scientifiques


pour devenir astronome.


Fumino est une fille assez grande et élancée, avec peu de poitrine ce qui la complexe, mais elle a de longs cheveux bleus et un visage fin. C'est un personnage réputé pour sa beauté, remarque qui revient plusieurs fois dans le manga, même si personnellement je trouve qu'elle ne fait pas partie du podium des plus belles filles du manga (voir la suite de ma critique pour ce palmarès).
L'autre élève, Rizu Ogata, est une fille assez petite et ronde, avec un côté enfantin et la plus grosse poitrine du harem. Elle est en quelque sorte une fille rousse avec une sacrée tignasse. Elle a les plus beaux yeux de la série, ce qui en fait un personnage au charme discret, mais ravageur. C'est pour moi la troisième fille la plus jolie de la série, devant Fumino quatrième. Mais c'est vraiment une création exceptionnelle dans l'histoire de la japanimation son visage.
Elle ne comprend rien aux relations humaines. C'est une travailleuse, son père tient un restaurant de "udons", et on a un cadre traditionnel où elle aide son père dans son boulot. L'aide qu'elle fournit est tout à fait exagéré, mais on hésite à dire qu'elle se fait exploiter vu qu'elle n'en souffre pas et semble trouver cela naturel. C'est une génie en maths et en sciences, sauf qu'elle veut faire des études en psychologie. Elle ne souhaite pas seulement faire de telles études pour montrer qu'elle peut. Il y a une raison à son choix qu'on apprend un peu plus tard.


Elle veut mieux connaître la psychologie, car ses connaissances en logique ne sont pas suffisantes pour gagner aux jeux en société. Ogata est complètement nulle dans des jeux comme le poker, car elle ne sait pas dissimuler ni comprendre les interactions humaines. Son drame dans la vie, c'est qu'elle aime jouer.


En plus, elle a beaucoup d'amour-propre et ne supporte pas qu'on lui dise qu'elle n'est pas compétente à quelque chose.
Tout commence donc avec une opposition symétrique. Fumino la littéraire veut faire des études scientifiques à base de maths. Ogata la reine des maths veut faire des études en sciences humaines et sociales. Mais autant elles sont brillantes dans une matière, autant elles ont des résultats comparables à ceux de cancres dans les matières qu'elles visent.
La direction du lycée a tenté de les dissuader de poursuivre dans de telles voies, mais elles s'obstinent. Leur nouveau tuteur Yuiga part lui aussi sur cet avis, mais évolue très rapidement et respecte leurs choix.
Dans le second épisode, on fait la connaissance de la troisième élève, le profil est plus particulier. C'est une amie d'enfance de Yuiga Nariyuki et elle est depuis longtemps amoureuse de lui sans qu'il s'en soit jamais aperçu. C'est une championne de natation, mais pour toutes les autres matières elle est à la ramasse, et cette fois parce qu'à la différence des deux premiers élèves elle n'aime pas travailler et n'a aucune confiance en ses capacités intellectuelles. Les deux premières élèves, Ogata et Fumino, sont des personnes timides. Notre championne de natation, Uruka Takemoto, est elle plus extravertie, mais elle a un esprit très fleur bleue comme le dit Fumino et elle n'avoue pas ses sentiments à Yuiga, parce qu'elle est beaucoup trop timide finalement elle aussi. La matière dans laquelle elle va devoir progresser sera l'anglais. Uruka Takemoto est terriblement attachante. C'est la plus jolie fille de l'animé selon moi. Elle a les cheveux roses avec une mèche folle, une peau bronzée par le soleil et du coup des yeux bleus qui en ressortent plus expressifs, yeux bleus moins fous que ceux d'Ogata, mais tout de même travaillés sur le même patron. Son corps est bien proportionné et son sourire épanoui et bienveillant achève d'en faire le personnage le plus beau du manga, même si elle est moins originale qu'Ogata ou que l'ancienne tutrice.
Plus tard, dans la série, Yuiga deviendra aussi une sorte de tuteur pour une quatrième fille, mais qui n'appartient pas au lycée, et je vais mettre ces précisions sous le cache spoiler.


Lors des vacances d'été, Yuiga Nariyuki suit une formation dans une école privée pour se préparer aux concours d'entrée dans les universités. Il rencontre une fille qu'il croit une collégienne, quasi une fille de l'école primaire, tant elle est petite et gamine. En réalité, elle est son aînée. Elle a dix-neuf ans, a déjà raté le concours d'entrée en fac de médecine. Pour vivre, elle travaille comme soubrette dans un bar interdit aux mineurs. Je pense qu'on doit glisser pudiquement sur certaines explications, parce que l'animé semble s'en tenir au fait qu'il est sulfureux d'accueillir des clients en soubrette en leur faisant des manières et des moues érotiques. Le concept m'échappe un petit peu, mais bon ! Il n'y a pas d'effeuillage ! On ne sait pas trop si elle tient compagnie aux clients et comment. On dirait que non ! C'est juste des serveuses en habit-fantasme de soubrettes.
Cette quatrième élève a un caractère désagréable au possible. Les circonstances font que Yuiga, lycéen encore mineur, se retrouve à lui donner des cours sur son lieu de travail même. Pire encore, pour détourner la méfiance du père de cette nouvelle élève, Yuiga doit se faire passer pour son petit ami.


Enfin, au-delà des élèves, le harem est complété par une enseignante, l'ex-tutrice. C'est la deuxième fille la plus jolie du manga. Elle est conçue sur le modèle de Fumino, mais a un corps beaucoup plus électrisant pour la poitrine et les jambes. Elle a de longs cheveux roses et non bleus. Alors que Fumino a des yeux dorés, la prof Mafuyu Kirisu a des yeux gris-vert étonnants. Ils sont sur le modèle de Fumino et ne rivalisent donc pas avec les yeux papillon d'Ogata et d'Uruka, mais ils font un effet impressionnant et parfaitement en adéquation avec le côté triste et froid du personnage. Mafuyu Kirisu est une femme célibataire immensément belle, mais maladroite, froide par une réserve excessive qu'elle s'applique à elle-même et triste de voir tout lui fuir dans la vie. Et cette intensité de désir et de tristesse se sent très bien dans son regard peu sûr qui scrute l'horizon. C'est l'autre grande création esthétique originale forte du manga avec Ogata Rizu. Bien que peu expérimentée, les scènes érotiques la concernant éclipsent carrément les quatre élèves. Même si Uruka Takemoto est très belle, la prof a l'avantage d'une sensualité explosive fusionnée à un profil de femme réservée et facilement effarouchée. Elle devient très vite bien consciente d'être trop souvent mise au même niveau que ses élèves et se sent même devenir inférieur au très mature Yuiga Nariyuki qui la sort de divers pétrins. Il faut dire qu'à son profil de professeur mal à l'aise et peu à sa place s'ajoutent le fait qu'elle ne nettoie rien chez elle et qu'elle ait une méconnaissance de la vie sentimentale et même sociale.
Evidemment, l'amour va travailler les quatre élèves. Pour l'enseignante, c'est un peu différent. Mais, en gros, Uruka Takemoto était déjà amoureuse de Yuiga d'où sa facilité à accepter qu'il soit son tuteur, surtout qu'elle identifie deux rivales. Puis, Ogata Rizu devient très rapidement amoureuse à son tour, mais avec toute la grâce touchante de son manque de présence dans les rapports sociaux. Elle est tellement habituée à vivre dans sa bulle que, bien que consciente de son amour, sa façon de se comporter et de réfléchir s'en ressent. Fumino va avoir un rôle très particulier qui va la rendre aussi plus intéressante dans le manga. Elle est celle des trois qui tombe le moins rapidement amoureuse de Yuiga, même elle ne se rend même pas compte de la progression de ses sentiments. Or, avant qu'elle aussi ne tombe amoureuse de Yuiga, et c'est une force du manga d'avoir songé à faire cela, ce qui nous vaut du scénario original et intéressant, elle a compris en les observant qu'Ogata et Uruka étaient amoureuses de Yuiga. Elle est la seule à savoir cela, et par équité elle aide les deux amies, même si quand elle en aide une elle met en péril l'amour de l'autre. Surtout, elle tend à se sacrifier elle-même pour faire avancer les choses. Toutefois, paradoxalement, c'est celle qui a les opportunités les plus intéressantes pour former un couple avec Yuiga.


Vers la fin de la première saison en animé, et donc plutôt vers le début d'un manga qui compte aujourd'hui 18 tomes, elle dort dans le même futon que Yuiga dans un hôtel où elle fait croire qu'ils sont frère et soeur. Il n'y avait plus de train, mais, bien qu'il n'y avait aucune intention, ils dorment en se donnant la main et se réveillent le matin serrés l'un contre l'autre ! On n'est pas passés loin de la fin prématurée du manga.


Outre sa tendance au sacrifice et ses complexes, Fumino a aussi l'histoire du décès de sa mère et la poésie qui lui fait aimer les étoiles pour achever d'être un personnage qui s'impose dans le récit.
Maintenant, chaque épisode est l'occasion de deux, trois récits de gags. Les personnages ne cessent de se rencontrer par hasard, et avec une prédilection toute particulière pour les situations compromettantes qu'il faut débrouiller. Le fan service est indéniablement très présent, mais il n'est jamais vulgaire, même quand les blagues sont osées. Il y a une touche délicate réelle et savoureuse qui fait que cette série peut se regarder en famille. Les situations sont drôles. Le comportement enfant ou naïf des personnages fait mouche. Il y a des répliques qui sont vraiment drôles, des répliques aussi qui en révèlent beaucoup sur la psychologie et qui font rire également. C'est enlevé et joyeux. C'est différent de Go-toboun no Hanayome et en même temps je pense que le niveau peut se maintenir alors que des séries qui commencent à un très haut niveau lors des premières saisons en animé comme Love x war / Kaguya-sama et Quand Takagi me taquine ont moins l'espoir d'une qualité qui se maintiendrait avec constance. Il ne faut pas oublier que Takagi qui embête son camarade de classe c'est touchant dans la première série quand on voit tout ce qu'il y a de fin et subtil dans de premiers émois amoureux qui ne disent pas leurs noms. Dans la deuxième saison, Takagi veut que Nishikata comprenne à travers ses taquineries qu'elle lui fait une déclaration amoureuse et qu'il doit y réagir. Pour moi, la deuxième saison, on passe à l'exaspération amoureuse, à quelque chose qui n'a plus rien à dire et, en plus, une fois que les choses sont ainsi posées, on ne pourra plus revenir à la légèreté de la première saison. Pour moi, la deuxième saison, et du coup je pense que l'évolution du manga c'est pareil, c'est une catastrophe.
Pour Love x war / Kaguya-sama, il y a un problème d'évolution similaire. La première saison en animé est superbe, franchement drôle et on a un excellent point de départ : les personnages sont trop fiers pour avouer leurs sentiments, ils veulent que ce soit l'autre qui se déclare en premier. La deuxième saison est beaucoup moins drôle, part en vrille, s'intéresse aux divers personnages et développe des sujets de gags où on a toujours l'idée de ne pas avouer ses sentiments, mais où on n'a plus le moteur psychologique fin de la première saison. On a plein de situations de demi-aveux, plein de compromis, bref la deuxième saison de Kaguya-sama on a une vraie baisse de niveau. Pour We never learn, le récit n'est pas engagé un sujet de départ subtil auquel faire attention, le récit suit efficacement son cours sans baisse de régime, sans avoir petit à petit une fausse note qui s'installe et fait perdre de l'intérêt au récit.
Donc ne boudons pas notre plaisir au nom de mets plus raffinés.


Il faut parler aussi de l'esthétique de l'animé. Déjà, il y a un excellent jeu sur les portraits des personnages avec tantôt des effets caricaturaux, tantôt des gros plans sur un visage de face, etc. On a des images qui font efficacement le taf comique : simplification, mais touche comique géniale de la distribution sur l'image ou touche géniale de la caricature (exemple : Ogata qui montre qu'elle "sait" nager dans une piscine).
Pour la première saison, les images animées des génériques furent brillamment pensées. On a un générique d'ouverture qui joue à faire vivre les personnages au milieu du matériel scolaire, en les rapetissant parfois, on a une sorte de transformation de l'univers de la classe, en principe ennuyeux et terne, en un univers magique plein de promesses et de vie avec quelques images où les élèves en classe deviennent expressifs, comme si on lisait facilement en eux en les regardant à leurs pupitres. Le générique de fin joue habilement sur l'imitation de profils des personnages à la craie rendue vivant sur un fond de tableau noir-vert. Les expressions faciales des personnages peuvent être hallucinantes avec une bonne maestria dans le changement de tête d'une seconde à l'autre, je pense à l'épisode où Yuiga et Fumion ont raté le train et se retrouvent dans une auberge. Fumino doit improviser une solution et décide qu'elle sera la soeur de Yuiga. On a son visage de profil sérieux, puis elle tourne la tête avec une petite inclinaison, les yeux sont grands ouverts, le sourire déterminé apparaît avec la mâchoire inférieure plus prononcée. Il y a une vraie vie. C'est même dans l'animation une conception parfois à l'ancienne. Les mains bougent minimalement quand elles sont en train d'écrire, il y a des réductions de coût, des plans fixes, des simplifications, mais tout cela est fait intelligemment avec tout le savoir-faire japonais pour produire un animé bon marché mais drôlement artistique et efficace. On n'a pas besoin de techonologie, on a besoin de génies pour nous donner les images qui disent quelque chose dans toute sa splendeur, dans toute sa drôlerie, dans toute son efficacité. Et cet animé le fait très bien.
Enfin, pendant les épisodes, on a deux musiques rock sublimes de chez sublimes dans les moments d'action. A part Fuli Culi / FLCL, on n'avait plus jamais eu un tel niveau depuis Goldorak et Dragon Ball. Pour les musiques dans les épisodes, Goldorak et Dragon Ball, c'est au-dessus de tout, c'est du Ennio Morricone et de la musique classique dans un dessin animé japonais. Mais, là, les jeux de basse ravageurs dans We never learn, rien que ça ça m'a scotché. Ton tontontontonton tontontontonton. Et le lancement du riff de guitare électrique dans les moments où tout s'emballe, c'est aussi mémorable. Ces deux motifs musicaux, mais c'est des merveilles ! Ces deux motifs sont en fait deux parties d'un même morceau instrumental dont on a une diffusion complète notamment dans le premier épisode de la saison 2, quand Yuiga et Ogata travaillent ensemble et que le quiproquo portent sur la question : "alors, c'est du D ou du E?" qui peut se comprendre pour les notes A B C D E ou pour les tailles de bonnet... C'est d'ailleurs un de ces passages où on se tape une grande crise de fous rires, et en plus on peut revisionner le passage trois fois pour suivre les raisonnement de Yuiga, puis uniquement ceux d'Ogata, et enfin apprécier comment l'instrumental complet transcende l'ambiance exaltée du gag en notant tous les petits détails musicaux en même temps. Il y a d'ailleurs un troisième motif pas mal du tout, une sorte de sifflement bizarre par un instrument imitant un peu le sifflement humain, on l'a dans la scène de bain où Yuiga se retrouve avec les filles, vers la fin quand, gênées, elles avouent leur erreur.

davidson
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le 12 août 2020

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davidson

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