Les meilleurs albums de Spirou selon ServalReturns

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Où l'on découvre le cousin Zantafio, fripouille notoire, mais aussi le Marsupilami. Et son pays, la minuscule République de Palombie.

Deuxième récit long de Franquin et déjà l'un des sommets de la série. L'aventure, la vraie, en trois épreuves pour trois actes.

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Suite directe de l'album précédent, Les voleurs du Marsupilami, c'est entre autres choses cette formidable course-poursuite nocturne dans le zoo, avec les jeux d'ombre et le varan. Très rythmé, beaucoup de gags et d'action, Franquin a trouvé la recette qui fonctionne.

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Grand classique de la période Franquin.

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Un album au ton différent de ses prédécesseurs. L'un des sommets de la période Franquin, et de la série.

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Album fondateur de la saga, qui introduit le personnage de Zorglub, et dernière grosse réussite de Franquin sur la série-mère.

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On change d'époque. Après dix-neuf albums à l'intérêt variable, Franquin a laissé la place à Fournier.

Après plusieurs albums oubliables (L'ankou est surcoté, j'ose le dire), Fournier conclut son mandat avec sa meilleure histoire, le diptyque Kodo le tyran/Des haricots partout. Histoire qui reste aujourd'hui celle mettant le plus en avant le personnage de Fantasio.

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Suite et fin.

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Nic et Cauvin se seront vus verser des tonneaux de merde à la gueule pour leur reprise de Spirou. Reprise qui n'aura du coup duré que le temps de trois albums. Tous les trois jetés aux oubliettes par la majorité des puristes.

Aujourd'hui encore, certains ont l'outrecuidance d'affirmer que cette période reste la pire de la série - qui a pourtant vu passer depuis Morvan & Munuera puis Yoann & Vehlmann.

Mais franchement... Nic et Cauvin sont loin d'avoir démérité. Alors ok, les trois albums souffrent de l’absence d'antagonistes dignes de ce nom, mais c'est bien le seul reproche que j'ai à formuler. Les scénars de Cauvin et les dessins de Nic sont tout à fait à la hauteur de la série. Qu'attend-on pour les réhabiliter ? Cet album en particulier.

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Après le passage malheureux de Nic & Cauvin, voici l'ère Tom & Janry. Ma préférée. Et la plus homogène qualitativement parlant. Si j'adore Franquin, je dois bien avouer que plusieurs de ses albums Spirou (souvent ceux composés de plusieurs histoires courtes) sont très dispensables. Alors que Tome et Janry, eux, ne nous auront servi quasiment que du lourd, à deux exceptions près : leur premier album, Virus, anecdotique ; et leur album d'histoires courtes (décidément !) , La Jeunesse de Spirou. Tout le reste, c'est du tout bon. Celui-ci est leur première belle réussite.

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Excellente aventure, qui marque la première apparition du meilleur méchant créé par T&J : le parrain Don Vito Cortizone. Mon vilain préféré de la saga !

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Première partie de la meilleure aventure de Tome et Janry.

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Suite, apogée, et fin.

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Génial. Probablement l'un des albums les plus originaux et les plus drôles de la série.

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Beaucoup se seraient vautrés sur un sujet pareil, mais T&J réussissent le défi.

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On approche de la fin de la période T&J, et on continue le sans-faute.

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Assurément l'album le plus controversé de la série. Après moult pérégrinations et tergiversations intellectuelles, je me range finalement (?) parmi ses défenseurs.

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2006. Bientôt dix ans que Tome et Janry ont quitté la série. En parallèle des albums bidesques de M&M sur la série-mère, Dupuis lance une série de one-shots. Le concept (vite dévoyé) : laisser l'opportunité à des auteurs de réaliser un album Spirou à leur sauce, en-dehors du canon officiel.

Encore plus que sur la série principale, les différences de ton et de qualité vont s'exprimer selon les auteurs. En douze one-shots, on aura assisté au pire comme au meilleur.

Tarrin et Yann livrent ici la première réussite de cette nouvelle série.

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Emile Bravo au top. Emile Bravo dont on attend désormais sa suite (en 300 pages, s'il vous plaît) à la fin de l'année.

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Premier des trois one-shots (ça n'a aucun sens, oui) du duo Schwartz & Yann, ce Groom vert-de-gris reste leur meilleur à l'heure actuelle.

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L'album le plus mal-aimé de la série. Moi, il me fait rire.