SensCritique
Cover Les meilleurs films de 1971

Liste de

58 films

créee il y a plus de 5 ans · modifiée il y a 4 mois

A Touch of Zen
7.5
1.

A Touch of Zen (1971)

Xia nü

3 h. Sortie : 30 juillet 1986 (France). Arts martiaux, Aventure, Drame

Film de King Hu

Homdepaille a mis 10/10.

Les Proies
7.5
2.

Les Proies (1971)

The Beguiled

1 h 45 min. Sortie : 18 août 1971 (France). Drame, Thriller, Guerre

Film de Don Siegel

Homdepaille a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Vampyros Lesbos
5.7
3.

Vampyros Lesbos (1971)

Vampyros Lesbos: Die Erbin des Dracula

1 h 29 min. Sortie : 9 janvier 1975 (France). Épouvante-Horreur, Érotique

Film de Jesús Franco

Homdepaille a mis 8/10.

Annotation :

Magnifique ! Franco reprend l'histoire du Dracula de Stoker, métaphores animales incluses, qu'il féminise et déplace sous le soleil. Cependant le vampirisme n'est pas le centre de l'histoire, il est surtout une idée (qui a du style, c'est toujours esthétique le vampirisme) des relations amoureuses et des pulsions sexuelles. L'insatisfaite Linda rêve lesbianisme avec un double répondant au nom quasi anagramme de Nadine, elle se voit mannequin que la danseuse de cabaret peut faire revivre par son érotisme (deux scènes d'une classe folle). Le jeu érotique entre la grande et la petite bourgeoise devient affaire de remplacement et domination : l'ex qui a mal vécue sa rupture avec draculette a fini en hôpital psychiatrique, et l'attirance avec la nouvelle victime blonde qui n'est pas si facilement dominée et combat encore ses tentations lesbiennes émeut dans sa conclusion.

La réalisation tente de reproduire le pouvoir hypnotique du vampire en jouant l'avant-gardisme avec scènes langoureuses, motifs répétés, transe et musique psychédélique à fond (sublime B.O). Stéphane du Mesnildot analyse magistralement les transitions vers l'univers du rêve et du fantasme et la psyché de chacune dans son livre sur le réalisateur.
On retrouve les grandes marques de la réalisation de Franco en flous artistiques et puissants, gros plans, zooms ainsi que dans les décors qui cherchent toujours l'architecture la plus déconstruite et surtout un intérieur pop saisissant avec un plafond rouge aux étoffes rouges tombant comme des gouttes de sang.

Point limite zéro
7.4
4.

Point limite zéro (1971)

Vanishing Point

1 h 39 min. Sortie : 12 mai 1971 (France). Drame, Road movie, Action

Film de Richard C. Sarafian

Homdepaille a mis 9/10.

Les Chiens de paille
7.6
5.

Les Chiens de paille (1971)

Straw Dogs

1 h 53 min. Sortie : 9 février 1972 (France). Drame, Thriller

Film de Sam Peckinpah

Homdepaille a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Duel sauvage
7.1
6.

Duel sauvage (1971)

Da jue dou

1 h 45 min. Sortie : 21 avril 1971 (Hong Kong). Arts martiaux, Drame

Film de Chang Cheh

Homdepaille a mis 7/10.

Annotation :

Voilà j'ai trouvé mon point d'accroche avec Chang Cheh : ses films de triades bourrés d'idées visuelles à chaque coup bien sanglant. Je me demande si ce n'est pas le réalisateur qui gère les mieux les combats à 1 vs une armée.
Celui-ci m'a semblé un chouia plus long que d'autres. Trop de bluettes avec des petites exploitées alors que le cœur dramatique se construit autour des bonhommes torse nu qui se tiennent virilement la main dans la mort.

Il était une fois la révolution
7.9
7.

Il était une fois la révolution (1971)

Giù la testa

2 h 37 min. Sortie : 29 mars 1972 (France). Western, Action, Drame

Film de Sergio Leone

Homdepaille a mis 8/10.

La Rage du tigre
7.4
8.

La Rage du tigre (1971)

Xin du bi dao

1 h 42 min. Sortie : 28 juin 1973 (France). Arts martiaux, Drame

Film de Chang Cheh

Homdepaille a mis 8/10.

Annotation :

Bon équilibre, Chang Cheh a son propre style puissant qu'il utilise dès l'intro cette fois et les rares moments où il bloque la vision derrière des barrières c'est avec parcimonie.
On peut rechigner sur le mélodrame et son histoire homo-érotique originale. Le manchot tire la tronche quand la seule fille du coin lui fait du rentre dedans et devient tout sourire quand arrive un éphèbe à longue épée avec qui il va se promener bras-dessus bras-dessous. C'est pour venger ce dernier tranché en deux que notre héros décime une armée. Mais on sent comme un recul dans le rapprochement avec la fille. Bien que leur embrassade finale soit filmée de loin, ils ont déjà cassé les œufs ensemble juste avant le massacre et peu de pleurs sont accordés au héros tombé.

Terreur aveugle
7.1
9.

Terreur aveugle (1971)

See No Evil

1 h 28 min. Sortie : 26 novembre 1971 (France). Thriller, Épouvante-Horreur

Film de Richard Fleischer

Homdepaille a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Réveil dans la terreur
7.6
10.

Réveil dans la terreur (1971)

Wake in Fright

1 h 54 min. Sortie : 21 juillet 1971. Drame, Thriller

Film de Ted Kotcheff

Homdepaille a mis 8/10.

L'Étrangleur de la Place Rillington
7.6
11.

L'Étrangleur de la Place Rillington (1971)

10 Rillington Place

1 h 51 min. Sortie : 13 octobre 1971 (France). Biopic, Drame, Thriller

Film de Richard Fleischer

Homdepaille a mis 8/10.

French Connection
7.5
12.

French Connection (1971)

The French Connection

1 h 44 min. Sortie : 14 janvier 1972 (France). Policier

Film de William Friedkin

Homdepaille a mis 7/10.

Prière d'extase
6
13.

Prière d'extase (1971)

Funshutsu kigan - 15-sai no baishunfu

1 h 12 min. Sortie : 4 août 1971 (Japon). Drame, Érotique

Film de Masao Adachi et Haruhiko Arai

Homdepaille a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Une jeune en rébellion et souvent torse nu, qui a expérimenté l'amour libre, se retrouve enceinte et confrontée à la normalisation qu'elle encourt en devenant mère. Cette normalisation pousse ses camarades à la prostituer, car dans le capital tout se monnaie.
Une réflexion sur le monde tendre et mélancolique : des messages de suicide ponctuent le film, certains raccords sont magnifiques comme le bleu du ciel changé en rouge.
Noir et blanc avec des parties couleurs pour un érotisme plus efficace.

La Randonnée
7.5
14.

La Randonnée (1970)

Walkabout

1 h 40 min. Sortie : 23 février 1972 (France). Aventure, Drame

Film de Nicolas Roeg

Homdepaille a mis 7/10.

La clinique sanglante
5.3
15.

La clinique sanglante (1971)

La Bestia uccide a sangue freddo

1 h 36 min. Sortie : 1 mars 1973 (France). Épouvante-Horreur, Thriller

Film de Fernando Di Leo

Homdepaille a mis 7/10.

Annotation :

Je m'attendais à un giallo racé et psychédélique, finalement j'ai eu du Fernando Di Leo. J'apprécie de plus en plus le style crade du réalisateur. Donc la lumière est crue, la musique change d'ambiance toutes les minutes et les raccords sont brutaux (jusqu'à l'absurde avec un enchaînement de 180° d'une demi-seconde dans des montées d'escalier pourtant lentes) avec des inserts rapides de flash-back et montage alterné qui ne reposent pas vraiment sur la psychologie de la personne filmée (juste pour l'esthétique).

On est dans un univers totalement fantasmé. Les motivations du tueur (incohérentes) sont balancées en une phrase à la fin "Voilà la justification à tout ce chaos". Le décor n'a pas de réalité non plus. C'est la 1ère clinique psychiatrique dans un manoir avec des armes et instruments de torture dans chaque recoin. Toutes les patientes ont un "problème" de sexualité et leur mari/frère les enferment dans une institution littéralement moyenâgeuse. Dans cette société misogyne, Di Leo nous offre de la pure exploitation, l'érotisme dévie même dans une pornographie frontale assez étonnante pour un polar de 71. Le fan de Margaret Lee est très heureux des 1ères minutes, mais ni elle ni Kinski ne retienne le regard car Rosalba Neri en nymphomane incontrôlable, enfermée pour "vouloir aimer", emporte écrase tout le monde.
Film brutal car en dehors de son érotisme hard-core les meurtres sont brutaux. Le tueur, pourtant motivé par des raisons pécuniaires, est un grand malade. Après avoir étranglé une femme, il recommence en lui secouant la tête dans tous les sens, Un corps défoncé à la hache reste en tête et le final est un déchaînement misogyne gratuit et choc.

Niveau de dégénérescence élevé.

Crimes dans l'extase
5.3
16.

Crimes dans l'extase (1971)

Sie tötete in Ekstase

1 h 13 min. Sortie : 12 mai 1976 (France). Épouvante-Horreur

Film de Jesús Franco

Homdepaille a mis 6/10.

Annotation :

Peut-être légèrement moins poussé et fou que les autres Franco de cette période, pourtant y'a tous les éléments que j'aime chez lui et peu de ceux détestables ; Franco n'abuse pas de l'intrigue policière plan-plan alors qu'il a l'inspecteur Derrick qu'on voit 3min grand max.
Des crimes et de l'érotisme dans des extérieurs et intérieurs pop (même l'église devient pop avec ce qu'il faut d'emphase sur les bougies), des scènes originales sans faire maladroites (je me souviendrais du coussin transparent qui sert à étouffer une victime), etc.
Mais s'il faut classer/trier, quelque chose marche moins bien que d'autres, peut-être l'absence de transe : pas de scènes de fantasme de mise-en-scène dans le film, pas de danse de cabaret étirée magnifiquement hors du temps. Il a une sorte d'efficacité à enchaîner les meurtres par la vengeresse qui laisse peu de place au surréalisme, malgré quelques flash-back et insert nécrophile. Et encore que cette nécrophilie d'une femme pour son mari, s'avère presque normale et moins dérangeante que celle non exprimée du Dr Orloff pour sa fille défigurée et figée dans la stupeur en 1962.
Seule la posture iconique de Miranda fascine, les bras entourant ses genoux, le regard fixe et légèrement dérangé. Une posture qui sera bien mieux utilisée dans Eugénie de Sade troublante entre l'innocence et les caresses provocantes.

Ah dans les scènes marquantes il y a la réunion de médecins humiliants leur collègue. Ça fait toujours son petit effet crispant des gens qui crient sur quelqu'un en allemand, surtout dans le cadre d'une médecine qui expérimente sur les embryons humains.

Le Sable mouillé d'août
6.2
17.

Le Sable mouillé d'août (1971)

八月の濡れた砂

1 h 31 min. Sortie : 25 août 1971 (Japon). Drame

Film de Toshiya Fujita

Homdepaille a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Étonnant j'étais persuadé de l'avoir annoté. Du coup, des années plus tard j'sais plus trop.
De mémoire, il joue beaucoup sur l'érotisme et le "viol à la cool" comme un vulgaire mauvais film érotique (mais sans nudité) avant de retourner le tout sur la fin de façon extrêmement forte.

Les Longs Adieux
7.2
18.

Les Longs Adieux (1971)

Dolgie provody

1 h 35 min. Sortie : 16 mars 1988 (France). Drame

Film de Kira Mouratova

Homdepaille a mis 7/10.

Annotation :

Une cacophonie assez unique. Une histoire de mère effrayée par la solitude à l'idée que son fiston quitte son son foyer remplie d'idées pour accompagner son trouble : dans le montage et le cadre comme la pose qu'elle prend devant la diapositive du mari et fils absent. Les pérégrinations du fils m'ont moins passionné, soit elles ne sont que fonctionnelle pour parler de la mère soit je les ai mal comprise.

Call of the Pistil
19.

Call of the Pistil (1971)

Kashin no sasoi

1 h 06 min. Sortie : 18 décembre 1971 (Japon). Drame, Érotique

Film de Masaru Konuma

Homdepaille a mis 6/10.

Annotation :

Entré à Nikkatsu comme assistant-directeur en 1961, Konuma ne fait ses débuts qu'une fois la majorité des réalisateurs partis au lancement des films érotiques du studio. Les 10 ans d'apprentissage se ressentent tant ce premier film porte déjà l'esthétisation caractéristique de son auteur. Et pas seulement ses obsessions fétichistes et sadiques sont aussi de la partie et déjà bien sulfureux à une époque où la censure rend les producteurs prudents.

Une journaliste réapparait en état catatonique probablement en conséquence d'un viol. Le médecin suggère qu'une reproduction du choc qu'elle a subit pourrait la réveiller. Ni une ni deux, son frère et petit ami attentionnés lui font subir une série de viol (chauffeur de taxi, yakuzas, GI), sous leur "surveillance" évidemment.
Tout Konuma y est. La résurgence du souvenir traumatique se fait en grande pompe lyrique (littéralement, avec un opéra en bande-son). Les obsessions de Konuma pour la pureté salie y sont : la belle emménage vêtue de blanc dans un appartement encore vide aux murs immaculés. Bien sûr, son corps sera vite tâché et Konuma prend un malin à plaisir aux travellings jusqu'à ses dents pourries en gros plan. Le couple d'oiseaux blancs et noirs annoncent la résolution du mystère : un viol par un GI noir devant la caméra d'un japonais. Cette idée de la pureté salie par un afro-américain a forcément quelque chose de sensible. L'idée semble avant tout pour l'esthétisme des couleurs opposées, sans racisme au 1er degré dans sa manière de les filmer (le 1er viol se concentre plus sur l'ignoble japonais à la caméra ; le second, engagé pour la réveiller de son trauma, n'est pas déshumanisé). Au 2d degré c'est autre chose, surtout pour un réalisateur de la corruption.
La séquence centrale des yakuzas dans un mélange d'orgie et de rituels religieux est déjà une grande réussite du réalisateur sadien.
Une fois sortie de catatonie Maki a deux scènes de dialogues face à son reflet, son identité retrouvée. Intéressant de noter qu'elle refuse la de consolation maladroite "Ce n'était qu'un mauvais rêve" et fuit l'appartement. Une belle fin dans la rue, sans en faire trop, qui change du viol émancipateur, vite subit vite apprécié.

Cette mise en abîme du viol devant la caméra, la voyeurisme, le sadisme etc. ont instantanément posées des bases et je me demande si Konuma n'a pas été le réalisateur le plus influent sur l'évolution du Roman Porno.

Lady with a Sword
20.

Lady with a Sword (1971)

Feng Fei Fei

1 h 25 min. Sortie : 15 octobre 1971 (Hong Kong). Arts martiaux

Film de Kao Pao-Shu

Homdepaille a mis 7/10.

Annotation :

L'histoire se suit bien. Y'a un p'tit ventre mou au milieu, mais bon avec des enfants acteurs on peut difficilement faire mieux et le gamin se débrouille en roulade et est plus crédible que la gamine qui dézingue trois gardes dans Twin swords. On débute par un viol qui tourne au meurtre. Justice doit être faite mais l'implication de deux familles fortement liées côtés meurtrier et victime complique les choses.
Avec enjeux les combats sont engageants et d'autant plus brutaux. Le sang continuera de couler des deux côtés. Les méchants ont des mises à mort audacieuses (impliquant une bûche et un sabre ou une bonne vieille pendaison doublée de coups de poignard). C'est dynamique dans les combats : plans longs, courts, vues subjectives (sans en abuser) ; et avec des armes que je n'ai pas souvent vu : trident, fouet, dagues de jet.

En plus le compositeur partage mon amour pour Tatouage dont il insère plusieurs fois la musique. Un homme de goût.

Jeux dangereux
21.

Jeux dangereux (1971)

Asobi

1 h 30 min. Sortie : 4 septembre 1971 (Japon). Drame, Romance

Film de Yasuzō Masumura

Homdepaille a mis 7/10.

Annotation :

Très jolie scène de première fois, climax du film.
J'avoue ne savoir quoi dire de plus sur ce film qui m'a plu. La justesse de leur relation fait pour beaucoup. La jeune fille est top, pas plus âgée que le rôle ni rendu trop jolie au maquillage. Le garçon en fait beaucoup, vraiment beaucoup.

L'Abominable Dr. Phibes
7
22.

L'Abominable Dr. Phibes (1971)

The Abominable Dr. Phibes

1 h 34 min. Sortie : 4 juillet 1973 (France). Comédie, Fantastique, Épouvante-Horreur

Film de Robert Fuest

Homdepaille a mis 7/10.

Silence
7.2
23.

Silence (1971)

Chinmoku

2 h 09 min. Sortie : 6 mai 1972 (France). Drame, Historique

Film de Masahiro Shinoda

Homdepaille a mis 7/10.

Annotation :

J'suis assez hermétique à la première partie, mon esprit étriqué n'arrive pas à comprendre comment les individus d'une société ayant déjà sa religion se sont convertis à une religion récemment importée. Le film ne cherche pas à l'expliquer, c'est un fait qui donc me maintient émotionnellement éloigné.
La seconde partie m'a beaucoup plus embarquée avec ce questionnement d'une foi ferme (irrationnelle pour moi, ce qui renforce encore cette tension) confrontée aux tortures. Et les japonais sont pas les derniers dans ce domaine.

Miyagawa à la photo. Cet âge des ténèbres est donc sous-exposé. Les nuits américaines (pas vraiment du coup, j'aimerai bien connaître le procédé) sont d'ailleurs très troublantes : le ciel reste assez clair alors que le paysage et les personnages sont plongés dans le noir. Couleurs épatantes comme souvent avec le mr : le vert est éclatant, la mer noire etc

Hot Springs Mimizu Geisha
24.

Hot Springs Mimizu Geisha (1971)

Onsen mimizu geisha

1 h 25 min. Sortie : 3 juillet 1971 (Japon). Érotique, Comédie

Film de Norifumi Suzuki

Homdepaille a mis 7/10.

Annotation :

Le haut du panier (si je puis dire) des comédies Toei je pense. En tout cas, l'humour graveleux m'a fait sourire ce qui est rare. Surtout la compétition finale, où le 1er à jouir à perdu, qui commence dans une auberge pour finir au milieu de la mer.

Les Mariés de l'An Deux
6.3
25.

Les Mariés de l'An Deux (1971)

1 h 38 min. Sortie : 7 avril 1971 (France). Action, Aventure, Comédie

Film de Jean-Paul Rappeneau

Homdepaille a mis 7/10.

Le Venin de la peur
6.8
26.

Le Venin de la peur (1971)

Una lucertola con la pelle di donna

1 h 44 min. Sortie : 21 juillet 1976 (France). Épouvante-Horreur, Policier

Film de Lucio Fulci

Homdepaille a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Duel
7.4
27.

Duel (1971)

1 h 30 min. Sortie : 21 mars 1973 (France). Action, Thriller, Road movie

Téléfilm de Steven Spielberg

Homdepaille a mis 7/10.

L'Inspecteur Harry
7.2
28.

L'Inspecteur Harry (1971)

Dirty Harry

1 h 42 min. Sortie : 16 février 1972 (France). Policier, Action, Thriller

Film de Don Siegel

Homdepaille a mis 6/10.

Joe, c'est aussi l'Amérique
6.8
29.

Joe, c'est aussi l'Amérique (1970)

Joe

1 h 47 min. Sortie : 9 juin 1971 (France). Drame, Thriller

Film de John G. Avildsen

Homdepaille a mis 6/10.

Annotation :

Film qui parle de son époque et présente un côté plus sombre des hippies que beaucoup des succès qui sont restés.
J'aime particulièrement la 1ère partie sur un couple entre une fille de bourgeois, la toute jeune et choupette Sarandon, et un dealer/accro dans un appartement miteux.Y'a beaucoup de scènes fortes entre eux de tension et d'amour jusqu'au un bad trip qui sans en faire trop me restera en tête.
La deuxième partie avec deux vieux réac (alliance de toujours, le prolo raciste et le riche de droite) m'emballe moins, le Joe en fait peut-être un chouia trop et l'horreur que leur croisade devrait dégager m'a peu atteint, d'ailleurs l'incursion dans le psychédélique marche pas trop dans ce film glauque.

La Cérémonie
7
30.

La Cérémonie (1971)

Gishiki

2 h 02 min. Sortie : 1971 (France). Drame

Film de Nagisa Ōshima

Homdepaille a mis 6/10.

Annotation :

J'ai toujours du mal avec Oshima qui garde ses distances avec les personnages. La réalisation se veut rigide comme cette famille d'anciens aristocrates en pleine décrépitude après-guerre, seules quelques petites dissonances (surtout sonores) rompent la monotonie. Les cérémonies mortifères s'enchaînent mais celle du mariage sans mariée, où il faut préserver les apparences et jouer le cérémonial comme si elle était là, est la scène la plus marquante et explicite dans le vide fantomatique et ridicule.

Typiquement le genre de film que j'apprécierai plus à une seconde vision, quand je comprend mieux où il va, mais il ne me fascine pas assez pour que je le revois.

Homdepaille

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