Les meilleurs livres sur la Shoah selon Daziel

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"L'histoire hallucinante du convoi numéro 7909 qui transporta plus de 2000 déportés (dont près de la moitié périrent en route) dans des wagons à bestiaux en juillet 1944. Le train atteint sa destination, le camp nazi de Dachau, après un voyage de quatre jours. Le récit s'appuie sur les témoignages de plusieurs centaines de survivants et de témoins extérieurs (personnel de la Croix-Rouge, cheminots, etc.)".

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"Les ancêtres des Juifs ce sont quelques hommes à la recherche d'une terre et en quête d'une foi. Ils ne s'appellent pas encore les Juifs mais les Hébreux. Quant à la terre elle ne porte ni le nom de Palestine ni celui d'Israël, c'est la pays de Canaan"
Ainsi commence leur histoire, "Une histoire de trente-cinq siècles qui concerne aujourd'hui la planète entière. Dans ce livre essentiel, rien ne reste dans l'ombre. Il faut le lire pour comprendre le problème du peuple Juif et suivre chaque étape de sa très longue marche"

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Voir ma critique "Un cri dans les ténèbres se fracasse sur le mur du silence"

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"Repris de justice, braconniers auxquels Himmler propose la liberté en échange d'une chasse à l'homme dans les forêts ukrainiennes et biélorusses. La guerre les chasseurs noirs la mènent contre les partisans, ils prennent aussi en charge les nombreux juifs polonais parqués dans les camps de travail et écrasent le soulèvement de Varsovie à l'été 1944. Ils violent, massacrent, violent et pillent à un degré tel que la hiérarchie SS elle même ouvre des enquêtes. 200 villages biélorusses connurent le même sort que Ouradour, 30 000 hommes, femmes et enfants tombèrent victimes des chasseurs noirs qui utilisaient les méthodes de traque des chasseurs d'où le nom de chasseurs au sang noir. Le sang noir c'est le sang qui coule dans les veines du chasseur."

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"Ainsi on nous a exterminés, de la Grèce à la Norvège et jusque devant Moscou, près de sept millions
Sans compter les enfants dans le ventre, seules sont prises en compte les femmes enceintes, les futures mères,
Et s'il reste un Juif en la lointaine Amérique, en la proche terre d'Israël, toi réclame à la face du Monde pour les enfants non encore nés et déjà assassinés, réclame pour eux aussi, enfants gazés avec leurs mères dans le ventre des mères !"
Yitskhok Katzenelson lutte pendant trois ans dans le ghetto de Varsovie anéanti par les nazis . Interné au camp pour "personnalités" de Vittel il est déporté à Auschwitz en avril 1944 et gazé dès son arrivée.
"Écrit en yiddish en 1943 dans le camp de Vittel et sauvé miraculeusement, "le chant du peuple Juif assassiné est un témoignage unique sur la barbarie nazie et le ghetto de Varsovie. C'est un chef d'oeuvre de par sa beauté littéraire et sa bouleversante humanité"