Les lectures forcées et finalement adorées selon Gilraën

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Petit roman jeunesse de 200 pages imposé en 5ème à l’heure où lire n’était encore qu’une corvée. Celui-ci est bien le seul de cette période qui m’ait laissé un assez bon souvenir.

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Œuvre charnière dans mon passé de lecteur, Eragon m’a été imposé par ma mère lorsque j’étais au collège et encore allergique aux livres. Car oui, il fut un temps où je n’aimais pas lire, mais ça c’était avant !

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Conseillé par ma mère (encore, mais elle a bon goût finalement) lorsqu’il m’a fallu trouver un auteur francophone du XXème à présenter pour le lycée. Excellente surprise.

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Imposé lors de mon cursus scolaire, et ma foi, c’est plutôt pas mal.

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À l’image de Candide, une lecture vraiment sympa parmi celles proposées au lycée.

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Une des rares pièces de théâtre véritablement intéressante et ne faisant pas partie du registre tragique, chose rare en tant que lecture imposée par le lycée. J’ai une sympathie particulière pour cette œuvre qui m’aura valu un 15 à l’oral du Bac ! ^^

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Les 9 tomes, qui s’intercalent entre les deux cycles de l’Assassin Royal, m’ont été inlassablement recommandés alors que j’avais la furieuse envie de poursuivre directement les aventures de Fitz. Finalement, j’ai suivi le conseil qui s’est avéré très pertinent.

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Lu après avoir capitulé face à un rabâchage de plus de trois ans effectué par mes parents. Très bon également, surtout pour l’ancien étudiant en biologie que je suis.

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Lu pour les études dans une période où j’avais bien d’autres livres sur le feu, mais la (re)découverte de ces nombreux contes parmi les plus populaires fut une bonne surprise.

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Cas un peu particulier car imposé par … moi-même (si si !) Je n’en avais pas envie à fond mais je DEVAIS lire cette référence de la SF. Difficile sur la première centaine de pages, mais tellement bon par la suite.