Les meilleurs animes japonais selon toma Uberwenig

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Le grand (mais un peu survendu quand même) Satoshi Kon offre peut-être ce qu'il a fait de mieux avec le superbe Paprika. Tous ses thèmes, toute son audace, son sens du surréalisme, du drame, du mystère se retrouvent dans cette étrange série. Indispensable, tout simplement.

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Malgré un dernier épisode refait à plusieurs reprises qui aura tellement insulté les fans que le créateur se faisait agresser dans la rue, la série est tout bonnement ce qu'on a fait de meilleur dans le domaine du délire mystico-Mecca.

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Là encore, on se retrouve avec un artiste visionnaire aux commandes d'une série animée, qui se permet des scènes tout bonnement psychédéliques, des audaces formelles qui encore aujourd'hui font sens, le tout dans un univers tout personnel qu'on peut aussi bien rejeter en bloc, ou bien y adhérer, c'est au choix. Mais Albator, 78 comme 84 est une série majeure, et on ferait bien de ne pas l'oublier!

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Une des seules longues séries du 21eme siècle à réussir à capter le souffle épique et le génie du manga dont elle est tirée. Le résultat est tout bonnement excellent, et en plus offre une fin alternative à celle de la BD. Génial et indispensable!

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Robotech, un patchwork bien typique de l'absence de respect que la France témoignait à l'anime japonais à l'époque, regroupe trois séries indépendantes. Et si tous ceux de ma génération ont été pris de pulsions homicides vis à vis de Milmay l'Idol, elles ont vibré devant un triptique de qualité, avec des mechas tout simplement excellents, et une richesse scénaristique qui, bien que classique, portait le tout avec brio. Et certaines musiques restent à jamais gravés dans nos mémoires sous le signe de l'Epicness.

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Relecture des archétypes de Magical Girl élevés au rang de drame épique. Excellente surprise!

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J'ai adoré cette série dès les premières notes du générique. Parfaitement rythmée, de taille idéale, émouvante, violente, amusante parfois, à la réalisation sans faille, bref, j'ai aimé, adoré, pleuré devant cette série. Et les critiques négatives que j'ai lu n'y ont rien changé.

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Ne froncez pas les sourcils d'un air dubitatif, cette série est absolument fondatrice, bien plus sombre que ce que l'impitoyable doublage français a tenté de nous faire croire. Go Nagai est un artiste majeur et visionnaire, et la version anime de son manga est là pour nous le rappeler.

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Avec son design vraiment singulier, et un scénario qui s'avère plus profond qu'il n'y parait, Claymore passe au fil des épisodes de bonne série à pure bombe sombre et épique, servie par une OST dantesque, du pur bonheur!

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Lupin 3 = dynamite

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Nicky Larson = grande classe

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Mon autre coup de coeur des années 2000. C'est beau, bien foutu, sombre, poétique par moment, émouvant à d'autres.

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Avec un chara design assuré par Miyazaki, Sherlock Holmes a déjà tout ce qu'il faut pour séduire la jeunesse, mais elle bénéficie en plus d'un rythme et d'une élégance qui en font un petit chef d'oeuvre.

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Sortez les mouchoirs, certains épisodes sont triste à mourir. Mais encore une fois, la série est marqué par l'audace des 70's japonaises, avec ses moments psychédéliques, son scénario plutôt cruel, son design particulier.

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Peut-être la série a-t-elle vieilli, mais à sa sortie, X de Clamp était une pure claque... Bon, aujourd'hui, le scénario prophético apocalyptique peut paraitre désuet, je ne sais pas, ça fait longtemps... Mais quelle claque, quand même!

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Si aujourd'hui Dragon Ball est devenu une sorte de cliché de l'abus dans l'anime (un kamehameha qui dure 3 épisodes!), les débuts de la série sont tout simplement une ode à la fraicheur, à l'humour grivois, et une petite perle de l'animation pour jeunesse. D'ailleurs, les débuts de Dragon Ball Z ne sont pas encore souillé par la propension au baclage qui sévit dans la série par la suite. Non, vraiment, Dragon Ball est une bonne série!

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La créatrice de Ranma 1/2, géniale, à l'humour ultra grivois et un sens de l'absurde complètement délirant, nous offre une série à l'humour cruel et au rythme effréné, qui séduit tous ceux qui ont le malheur de poser les yeux sur elle.

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L'humour grivois et absurde de Rumiko Takahashi est à son pinacle dans la série Ranma 1/2. Même si je préfère le rythme du manga, force est de constater que la série anime vaut son pesant de choucroute niçoise.

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Le culte de la souffrance et du dépassement de soi se retrouve dans énormément de séries, mais Saint Seiya le pousse particulièrement loin. Extrêmement violente, cette série vaut principalement pour le passage des Chevaliers d'or, même si la saison autour d'Odin vaut aussi le détour. Le meilleur segment de la BD, Hades, se sera fait attendre jusque dans les années 2000 en anime.

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Une des premières séries heroic fantasy à s'imposer par chez nous. C'est du très très classique, archétypal même, mais il y a quelque chose dans cette série outre la beauté des musiques et des images.

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Amour de jeunesse de tout une génération, le pendant féminin de Nicky Larson, moins drôle et moins grivois mais tout autant rondement mené.