Les meilleurs films sur l'enfance selon Ashen

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L'enfance. L'été. L'amour et la beauté des enfants.

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L'incompréhension des grandes personnes sur l'enfance. La stigmatisation de l'enfance dans le genre, les codes, et la norme. Le courage d'oser, la peur, et l'amour surtout de l'enfance.

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" Petite, c'est un mot qui revient de manière très récurrente dans l'œuvre, qui est là pour stigmatiser l'enfance, mais aussi l'impuissance. Parce que l'enfance, c'est ça, c'est l'âge où — vous en sortez j'espère — on ne peut pas, on n'est pas encore assez grand, on n'est pas encore assez mûr, on n'est pas encore assez fort. Et bien Antigone, elle est encore dans cet âge-là, elle est encore petite, trop petite ; mais elle ne veut plus être petite, elle ne peut plus être petite ce jour-là, car ce jour-là, c'est le jour où elle va dire non, et c'est le jour où elle va mourir. "

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La tendresse. Les premiers pas de chacun de ceux à qui on ne fait pas attention dans un monde rural, dans une communauté heureuse en train de disparaître. L'unicité de chaque enfant.

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L'enfance née pendant les derniers jours d'un monde. L'amour incomparable d'un père. Le mensonge et le sacrifice, ultimes feux de l'amour d'un père pour préserver infiniment l'enfance.

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Le besoin de l'enfance de tout vivre. Tout dire. Tout aimer.

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L'amour d'une mère pour celui qui a été enfant.

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L'enfance, insouciante et irresponsable. L'enfance, la peur de devenir beaucoup trop vite adulte. L'enfance, et tout le courage qui s'impose pour, à la fin, la préserver encore un peu de temps avant d'être vraiment une grande personne.

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Les rêves d'un enfant devenu vieux, même si il les sait illusions. L'émerveillement des enfants à la fenêtre face à des immenses dinosaures, et plus tard leur première peur face au danger. Le film qui berce l'enfance des spectateurs d'une génération de vingt ans déjà.