Les meilleurs jeux avec différentes fins selon Mottainai

Annotation :

Parce qu'il faut en parler de cette fameuse révision du modèle de Samus vu durant la véritable fin! Tout métroïdophile qui se respecte (et surtout les samusophiles) n'ont eu qu'une seule pensée lors de l'annonce du jeu: si Metroid Prime a été remodelé de A à Z, qu'en est-il du S? De notre grande guerrière interstellaire connue pour sa beauté froide et voluptueuse? C'est seulement durant la seconde et troisième fin que les élus auront la chance d'assister à la tombée des rideaux de son visage. Car oui, Metroid Prime a en vérité une seule et unique conclusion, mais elle se prolonge au fur et à mesure que le pourcentage de complétion se déchaîne. Il vous faudra en 75 et 100% pour assister au coming-out de la belle. Résultat? Une version "réaliste" de la chasseuse qui, ma foi, fonctionne à merveille avec le ton du jeu d'origine. D'ailleurs, les plus hargneux qui auront conquis le mode difficile auront l'honneur d'admirer ce nouveau visage dans les artworks ainsi débloqués. Et sinon: oui, l'ultime fin nous montrant la naissance de Samus Sombre est aussi cultissime que courte (20 secondes à tout casser?)

Annotation :

La plus grosse blague de l'année 2023, et elle commence à peine à l'heure où j'écris ces lignes, je la décerne à la fin de ce Sonic pourtant si agréable à jouer. Sa fin dans le mode de difficulté Normal j'entends. On nous prépare un grand vilain vraiment pas beau, destructeur de planètes, bouffeur de vies qui aurait exterminé la race des Anciens liés à Chaos 0, pour au final... Une cut scene lancée après quelques clics sur la touche A. Les derniers instants passent un peu les pieds dans le tapis. On essaie de nous émouvoir et de nous faire chavirer de tristesse pour Sage et son papa. Mouairf. Tandis que le classique "au revoir et bon vent" de Sonic et compagnie passe bien, puisqu'il fait écho aux fins entrevues dans les Sonic de la Mega Drive. Par contre, attaquer le boss final en difficulté maximale vous propulsera dans un fight T-R-È-S, et le mot est faible, inspiré de Nier: Automata et d'Ikaruga. En clair, du shoot'em-up très bullet hell. Difficile oui, mais pas insurmontable. Le discours du méchant destructeur de mondes est pas mal, et ça sauve les derniers bons meubles de cette conclusion.