Application SensCritique : Une semaine après sa sortie, on fait le point ici.
Les meilleurs jeux Final Fantasy selon Etienne Perceval
16 jeux vidéo
créée il y a 5 mois · modifiée il y a 19 joursCrisis Core: Final Fantasy VII (2007)
Sortie : 20 juin 2008 (France). Action, RPG
Jeu sur PSP, PS Vita
Etienne Perceval a mis 9/10.
Annotation :
"The Price of Freedom."
C'est grâce à Crisis Core que j'ai autant aimé Final Fantasy VII tout simplement. Ce jeu a cristallisé l'histoire originale dans une forme magnifique. Il ne fait pas seulement qu'enlever les zones d'ombres que pouvait laisser son prédécesseur mais sublime ses personnages.
L'histoire dramatique de Zack est un chef d’œuvre : un jeune SOLDAT ambitieux et enthousiaste dans sa quête pour devenir un héros comme son idole Sephiroth et son mentor Angeal. Il va découvrir peu à peu les dessous de l'organisation. Tout comme les fruits de Banora ont la symbolique de l'innocence perdue, Zack voit son idéal s'émietter : ce qu'il croyait être un rêve de gloire devient une désillusion face aux dilemmes moraux qui fissurent ses convictions. La perte de son mentor, son questionnement sur sa loyauté envers l'organisation, la perte de repères entre le bien et le mal et le poids de ses responsabilités.
Crisis Core est un hommage à l'idéal brisé, un amour manqué et à la force qu'il faut pour continuer malgré tout.
"If you want to be a hero, you need to have dreams, and... honor."
La tragédie de Zack n'a rien d'un simple récit de prequel, c'est un héros sacrifié. Et tout comme son mentor lui a transmis son épée en symbole de son honneur, Zack confiera ses rêves à Cloud.
Niveau gameplay, on est sur un action-rpg très fluide avec un système "DMW" qui mêle RPG / hasard et éléments cinématiques liés à l'histoire. Le jeu souffre au niveau de la répétition sur les missions secondaires. Une bande-son en dent de scie j'ai trouvé, toutes les musiques des cinématiques sont magnifiques mais celles des moments d'explorations deviennent vite ennuyantes. Les cinématiques sont par contre en full 3D CGI prerendus et juste magnifiques pour l'époque (la PSP quelle console n'empêche).
Les passages cités de LOVELESS par Genesis ponctuent la narration en offrant une profondeur symbolique aux événements et aux choix des personnages. Elles soulignent la lutte entre le destin et le libre arbitre, la quête de sens dans un monde en déclin et la recherche de rédemption face à la corruption.
Final Fantasy VII (1997)
Fainaru Fantajī Sebun
Sortie : 14 novembre 1997 (France). RPG
Jeu sur PlayStation, PC, PSP, PlayStation 3, PlayStation 4, PS Vita, Nintendo Switch, Xbox One, Nintendo Switch 2
Etienne Perceval a mis 9/10.
Annotation :
Final Fantasy VII a été, comme pour beaucoup de ma génération, mon premier Final Fantasy.
Un groupe d’écoterroristes nommé AVALANCHE lutte contre la mégacorporation Shinra (qui est donc une entreprise tellement puissante qu'elle est un gouvernement à elle-seule : le Maire de la ville siège dans le bâtiment de la Shinra et est hiérarchiquement inférieur au président / elle possède une structure militaire et agit comme un état totalitaire) car cette dernière puise et exploite l’énergie vitale de la planète : le Mako à l'aide de réacteurs. On incarne Cloud, un ex-SOLDAT devenu mercenaire, qui se joint au groupe par intérêt mais se retrouve entraîné dans une lutte bien plus vaste.
Leur combat contre la Shinra se double d’une menace plus grande : Séphiroth, ancien héros devenu antagoniste, dont les ambitions menacent l’équilibre de la planète.
Étant le premier Final Fantasy porté sur la PlayStation avec une ambition folle, il est évidemment un bijou d'innovation pour l'époque. Les personnages sont en 3D, une séquence d'introduction digne du cinéma, le jeu est en monde ouvert et possède une flopée de contenus annexes et de mini-jeux, les maps sont en 2D/3D avec des pre-rendered backgrounds magnifiques propres à la PS1, une bande son magnifique, le gameplay est enrichi avec tout le système de Matérias et l'ajout des Limites. Et pour finir, c'est un jeu en trois CD donc une histoire qui a le temps de bien se mettre en place.
Car la force de FFVII, c'est pas uniquement ses prouesses techniques mais bien sa narration. Son histoire est énormément développée et le jeu fourmille de détails sur son univers mais sa superbe vient de la profondeur psychologique et des nuances qu'on découvre dans ses personnages. Cloud, son état mental, ses réminiscences, sa reconstruction, ses relations complexes avec les différents personnages que ce soit Aerith, Tifa ou Sephiroth, le passé de Barret et sa culpabilité, Nanaki qui découvre l'histoire de son père, le rêve manqué de Cid, la crise d'identité de Sephiroth qui a fait naître l'antagoniste en lui, l'épisode de Nibelheim qui a choqué tout le monde et évidemment la scène que j'ai pas besoin de mentionner qui est la plus célèbre du lore de FFVII...
Final Fantasy VII n’est pas seulement un jalon de l’histoire du jeu vidéo, c’est une empreinte qui s’accroche à ceux qui l’ont traversé et les mots me manquent tellement j'ai aimé plongé dans son univers.
Final Fantasy IV (1991)
Sortie : 27 février 2002 (France). RPG
Jeu sur Super Nintendo, PlayStation, WonderSwan Color, Wii, Wii U
Etienne Perceval a mis 8/10.
Annotation :
Cecil : Un Chevalier noir tiraillé entre le devoir et la morale va finir par se rebeller contre son roi après avoir massacré des innocents en son nom. On va ainsi suivre sa rédemption et le destin qui l'attend. Son lien avec Kaïn, son meilleur ami chevalier dragon, est au cœur du jeu : une relation marquée par une amitié sincère mais minée par la jalousie, les non-dits, et la perte de contrôle. Rosa cristallise cette tension dans un triangle affectif aussi discret que pesant.
Final Fantasy IV est donc le premier de la licence à approfondir autant son histoire et à vraiment développer ses personnages principaux et secondaires, à oser les faire évoluer, douter, ou disparaître. Il introduit aussi le système ATB qui rend le tour par tour un poil plus nerveux et qui va rester longtemps dans la franchise.
Le petit point négatif : Les musiques notamment celles qu'on entend le plus sur la mappemonde et en combat classique deviennent vite ennuyantes.
Final Fantasy V (1992)
Sortie : 27 février 2002 (France). RPG
Jeu sur Super Nintendo, PlayStation, PlayStation 3, PSP, PS Vita
Etienne Perceval a mis 8/10.
Annotation :
L’histoire de FFV en elle-même est une reprise assez classique des bases de FF et FFIII : les cristaux, l’équilibre, le méchant sorcier. Rien de vraiment original mais il tient un rythme très agréable qui suit une narration quasi constante et le passage entre les mondes jusqu'à la fusion était une bonne idée.
Le jeu nous surprend quand même en donnant beaucoup de moments touchant à des personnages secondaires, ce sont eux qui finalement donnent au récit toute son humanité. On a Boko notre petit chocobo du début qui va tomber malade, reviendra nous aider et à la fin qui aura un très joli happy ending. Syldra le compagnon aquatique de Faris qui ira jusqu'au bout pour protéger son ami, son cri est vraiment marquant, à vous en glacer le sang. Le dragon de Lenna m’a aussi touché. Un être muet mais fidèle, qui donne tout pour elle et dont le souvenir plane bien au-delà d’un simple affrontement ou d’un moment de jeu. Une scène en particulier, quand Lenna est encore enfant, nous laisse un pincement au coeur : un choix, simple en apparence, mais porteur d’une immense tendresse, d’un respect silencieux. Ce que cette créature accomplira ensuite donne à ce lien une force inattendue. Galuf et sa petite fille lorsqu'il retrouve sa mémoire, Gilgamesh cet ennemi qui ne vous veut aucun mal qui m'a beaucoup fait pensé à Sans et Papyrus d'Undertale.
FFV n'est pas l'opus le plus audacieux de la série mais est la consécration du premier volet de la franchise, il sublime les bases (FF, FFIII) en y apportant une narration plus solide et un fourmillement d'histoires personnelles touchantes (FFII, FFIV) qui feront le succès des plus grands jeux de sa lignée.
Final Fantasy VI (1994)
Sortie : 1 mars 2002 (France). RPG
Jeu sur Super Nintendo, PlayStation
Etienne Perceval a mis 7/10.
Annotation :
Un empire tyrannique exploite la magie ancienne qui avait pourtant disparu de ce monde après une guerre sanglante afin de dominer petit à petit la planète entière. On suit une poignée de personnages dont Terra qui est le fruit d'une humaine et d'un Esper (une chimère) : les êtres dotés de magie. Autrefois manipulée par l'empire pour mener des opérations militaires, elle fait partie désormais d'un groupe de rebelles qui vont tout faire pour renverser le régime.
Le rythme du jeu est plutôt bon et le contexte géopolitique est accrochant. Cependant j'ai eu beaucoup de mal m'accrocher aux personnages tant il y en a et tellement courtes et expéditives leurs histoires personnelles sont développées. au final, ce qui m'a le plus touché a été la rédemption de Cid et la relation de Shadow avec son chien Vengeur et le groupe. Ce qui est assez étonnant étant donné que ce sont des personnages secondaires. L'antagoniste principal, Kefka, qui a le même rire que Frieza a été plutôt décevant pour moi, pas vraiment d'enjeu ni de raison de tout détruire il est juste méchant pour être méchant. C'est très pauvre je trouve, je préfèrerais encore qu'on réutilise un sorcier noir né du chaos qui n'existe que pour la destruction mais là un humain qui est à ce point nihiliste qu'il veut s'autodétruire en explosant le monde c'est très intéressant et ça mérite un minimum de développement. (Et je vais même pas parler de Orthros qui est complètement random et anecdotique dans l'histoire)
Niveau innovation technique, le jeu introduit un système d’apprentissage des sorts en équipant des magilithes associées à des Espers. Certains personnages ont des inputs de commandes à réaliser lors de leurs attaques spéciales ce qui rajoute un peu de dynamique.
Mon expérience reste donc assez tiède, le jeu m’a séduit par son univers et sa mise en scène sans jamais réussir à m’émouvoir vraiment. Reste quand même quelques fulgurances mémorables, comme la magnifique scène de l’opéra et l’ellipse temporelle brutale qui change le monde. Bon j'ai l'air de beaucoup en dire de mal mais on a tout de même un jeu avec une bande son très marquée, un thème iconique et un gameplay très solide.
Final Fantasy VII: Rebirth (2024)
Sortie : 29 février 2024. Action, RPG
Jeu sur PlayStation 5, PC
Etienne Perceval a mis 6/10.
Final Fantasy VII: Remake (2020)
Sortie : 10 avril 2020. Action, RPG
Jeu sur PlayStation 4, PlayStation 5, PC
Etienne Perceval a mis 6/10.
Annotation :
Le remake tant attendu. Cet opus a été pour moi une véritable montagne russe.
L’ouverture est bluffante : le jeu est magnifique et redonne vie à Midgar avec un soin hallucinant. Pas d’open world (et tant mieux), mais une mise en scène qui nous permet d’explorer des lieux autrefois figés en plans pré-rendus. Le gameplay bascule vers l’action-RPG, comme Crisis Core, et ça fonctionne très bien.
Mais rapidement, le jeu s’étire inutilement. Là où certains ajouts narratifs sont réussis (par exemple, la visite chez les parents de Jessie), d’autres séquences sont vides et interminables. Le passage des bras mécaniques avec Aerith est un supplice, tout comme la section des “soleils artificiels” sous la plaque, où l’on traverse des passerelles identiques à n’en plus finir.
Les OST réorchestrées sont en revanche magnifiques même si certaines musiques barbantes à l’origine le restent encore plus dans ces contextes. Les quêtes annexes, elles, sont classiques d’un open world moderne. Pas passionnantes mais pas envahissantes non plus. L'autre point noir qui m'a déçu c'est la montée du mur du Wall Market. Tout fan va chercher à reconnaître les secteurs 5 et 6 depuis les hauteurs, mais le décor n’est qu’une succession générique de taudis sans âme. Dommage.
Tout ça est encore pardonnable mais ce qui m'a achevé ce sont : les Fileurs. Des spectres censés incarner la continuité du destin… une surcouche de métaphysique dans une histoire déjà complexe. Au lieu d’assumer un vrai “what if” ou un spin-off, le jeu triture la trame originale en apportant rien de folichon : une Aerith qui connaît déjà Sephiroth, un Zack ressuscité de nulle part et un combat final contre des fantômes et contre Sephiroth. Pour moi, c'est juste une facilité scénaristique saupoudré de fan service. De la même manière que faire une map 3D d'une zone prend tellement de temps qu'ils sont obligés de faire tourner les joueurs en rond à l'intérieur pour rentabiliser, ils ne savaient pas comment couper l'histoire à un certain point sans avoir un vrai boss de fin et du Sephiroth.
En résumé : une réalisation splendide, un gameplay ok si vous êtes fan, des ajouts narratifs parfois inspirés mais plombés par des longueurs artificielles et une surcouche scénaristique maladroite.
Comme si, à force d’hésiter entre fidélité et réinvention, le jeu avait préféré brouiller les cartes plutôt que de vraiment trancher.
Final Fantasy XV (2016)
Fainaru Fantajī Fifutīn
Sortie : 29 novembre 2016. Action, RPG
Jeu sur PlayStation 4, Xbox One, PC, Streaming
Etienne Perceval a mis 6/10.
Final Fantasy XIII (2009)
Sortie : 9 mars 2010 (France). RPG
Jeu sur PlayStation 3, Xbox 360, PC
Etienne Perceval a mis 6/10.
Final Fantasy Tactics Advance (2003)
Sortie : 24 octobre 2003 (France). Tactique, RPG, Stratégie tour par tour
Jeu sur Game Boy Advance
Etienne Perceval a mis 6/10.
Final Fantasy III (1990)
Sortie : 27 avril 1990 (Japon). RPG
Jeu sur NES, Nintendo DS, Wii
Etienne Perceval a mis 6/10.
Annotation :
Final Fantasy III est pour moi le premier gros step-up et qui ajoute beaucoup de pierres à ce qu'est l'univers général de Final Fantasy. Le premier point qui est à la fois négatif et positif c'est le retour des personnages sans identité propre mais au profit d'un système de jobs qui est extrêmement complet et fun à jouer, on se retrouve à changer plusieurs fois de composition de classes au cours du jeu et à réfléchir en fonction des situations. C'est aussi via la classe Evoker qu'on va découvrir les invocations d'éons : Ifrit, Shiva, Léviathan, Bahamut... qui sont tellement iconiques dans la franchise. L’histoire reprend les bases déjà établies : quatre orphelins choisis par un Cristal pour contrer les ténèbres. La progression reste parfois obscure (bonne chance sans soluce), mais le jeu aide un peu plus via les mots-clés. Coté son, la musique des combats est incroyable on ne s'en lasse pas du tout durant tout le gameplay.
Le double-donjon final et ses multiples boss sans point de sauvegarde ni heal faut en parler par contre, ce sont des fous.
Final Fantasy II (1988)
Sortie : 14 mars 2003 (France). RPG
Jeu sur NES, WonderSwan Color, PlayStation, Game Boy Advance, PSP, Wii, iPhone, iPad
Etienne Perceval a mis 6/10.
Annotation :
Final Fantasy II est le premier Final Fantasy avec une histoire centrée sur des personnages écrits et qui innove dans son système d'expérience qui récompense les actions plutôt que les combats remportés (ce qui va être à la fois très intéressant et un peu bizarre à grind). On suit un groupe d'orphelins Firion et compagnie rejoignant une rébellion depuis le Royaume de Fynn contre un Empire maléfique qui cherche à dominer le monde à l’aide de forces obscures. Trahisons, pertes et sacrifices rythment leur lutte, dans une histoire plus dense et mature.
Et j'oubliais : Première apparition de Cid et des Chocobos qu'on retrouvera dans tous les opus suivants !
Final Fantasy (1987)
Sortie : 14 mars 2003 (France). RPG
Jeu sur NES, MSX 2, WonderSwan Color, PlayStation, Game Boy Advance, PSP, PS Vita, Android, iPhone, iPad, Windows Phone, PC, Nintendo Switch, Nintendo Switch 2
Etienne Perceval a mis 5/10.
Annotation :
Considéré comme l’un des pères fondateurs du JRPG, c’est surtout le premier grand succès international du genre. Il introduit le système de classes, le tour par tour en équipe et est plutôt très beau pour son époque. Bon maintenant c'est une horreur à jouer sans le manuel ou sans solution mais les musiques et les combats sont encore très sympas. Histoire presque générique avec des Guerriers de la lumière porteurs de cristaux protecteurs de la Terre qui doivent restaurer l'équilibre des éléments. Leur quête les mène à tout de même voyager dans le temps pour briser une boucle de chaos perpétuelle.
FF7R Episode INTERmission (2021)
Sortie : 10 juin 2021. Action, RPG
Extension sur PlayStation 5, PC
Etienne Perceval a mis 5/10.
Annotation :
DLC centré sur Yuffie qui se produit à peu près au même moment que les événements de FFVII Remake. Pas de lieux inédits, j'ai pas eu la foi, j'ai regardé les cinématiques sur youtube et franchement ça vaut pas le coup de se le taper. Le seul truc super fun c'est le mini-jeu du Fort Condort qui a bien été réhabilité.
Final Fantasy IV Interlude (2011)
Sortie : 22 avril 2011 (France). RPG
Jeu sur PSP
Etienne Perceval a mis 4/10.
Annotation :
Mini-épisode de transition post-FFIV, dont l’unique intérêt est d’introduire les enfants des persos principaux. En terme de gameplay on est de retour dans des zones déjà faites de FFIV sans aucun changement. Le tout se termine sur un non-événement. Anecdotique mais heureusement très rapide.
Final Fantasy IV : Les Années suivantes (2008)
Final Fantasy IV the After: Tsuki no Kikan
Sortie : 5 juin 2009 (France). RPG
Jeu sur PC, iPhone, Android, Wii, PSP
Etienne Perceval a mis 2/10.
Annotation :
Une suite inutile qui s’écroule sous son propre format : narrée en chapitres séparés avec une écriture plate, elle te fait changer de groupe toutes les 4 minutes tuant toute envie de t’investir ou de grind. Le jeu est une quasi redite du premier : recyclage abusif de zones, d’ennemis et de musiques, en sens inverse pour donner l’illusion de nouveauté. L’histoire, évidemment, ne prend sens qu’à la toute fin après des heures de flou narratif et se conclut par une ribambelle de boss misant tout sur le challenge.
Ah oui et dans la toute première version sortie sur mobile, les différents chapitres étaient PAYANTS ahahahaha...

















