Les meilleurs jeux vidéo des années 2010 selon seblecaribou

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C'est actuellement mon jeu préféré, de tous ceux auxquels j'ai pu jouer. J'en adore chaque personnages, chaque quête, chaque lieu. J'en aime l'esthétique, la musique et les mécaniques de jeu. On ne peut pourtant pas lui donner de palme pour son originalité, puisque ce n'est jamais "qu'un" RPG d'action classique dans son approche...seulement faire quelque chose et le maîtriser, il y a un monde que CD Projekt RED nous a éclairé avec The Witcher 3. Et ses deux DLCs exemplaires.

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La preuve qu'on peut être mémorable en brillant tout autant qu'en se prenant les pieds dans le tapis. Deadly Premonition est fait avec une maladresse et une incompétence qui tiennent presque du génie. Et cette spectaculaire chute ne parvient pas à entamer la personnalité inoubliable de ce titre sorti l'année de Red Dead Redemption, Heavy Rain ou God Of War 3 (pour ne citer que quelques ténors des graphismes de 2010). Pire, cette chute aide pratiquement à le faire passer dans une sphère autre. Constamment entre le nanar et le chef-d'oeuvre.

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BOUM GOES THE DYNAMITE.

Voilà, Hitman 2, c'est le meilleur jeu d'infiltration jamais fait. C'est le titre qui arrive à être meilleur que ce que j'imaginais être déjà l'aboutissement de sa série, Blood Money. C'est raffiné, c'est DENSE en terme d'interaction avec les mécaniques de jeu et les intelligences artificielles. C'est dosé avec une perfection rare et ça raconte hyper bien son univers pratiquement simplement avec l'architecture des niveaux, le placement des objets, bref le level-design qui s'élève au rang d'art sur ce titre. Alors c'est la continuité de l'épisode de 2016. Mais c'est encore polie sur le plan des menus, de la prise en main, du système de scoring...et c'est drôle, et prenant et généreux.

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C'est la révolution vidéoludique de la décennie passée, sans contestation possible. Depuis Minecraft, pas un jeu ne se passe de système de crafting et d'assemblage d'ingrédient pour sa progression. Il a donné naissance à des clones 2D et 3D de grande qualité parfois (rarement), et a influencé le retour de la génération procédurale. Sans Minecraft, pas de Starbound, pas de Terraria, pas de No Man's Sky, pas de Dragon Quest Builder...Et pour une fois, bah je suis tout à fait avec la masse; ce statut, cette popularité qui ne se dément pas, je la comprends et la valide pleinement. Minecraft est un jeu où l'on peut construire son chateau comme avec des Légos ou créer un ordinateur 8bits avec le système de "red stone" (une poudre qui transmet de l'énergie comme l'électricité). C'est un jeu sans but où seul la volonté du joueur fait avancer les choses. Mais c'est aussi un jeu super complexe, avec des dizaines de recettes d'objets à retenir, de systèmes qui s'entrechoquent, de biomes à visiter, mais qui jamais ne prend le joueur pour un imbécile.

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C'est tôt après sa sortie pour le mettre aussi haut, mais à la fois, c'est un jeu tellement particulier, de sa pré-production suivant une éviction de Konami pour l'équipe, à ses inspirations meta-narrative comme narrative en partie issues des cendres d'un autre projet, le regretté Silent Hills mort avant la naissance, à son aspect final qui tranche avec la dernière création de Kojima Production. Death Stranding est un jeu fait en trois années, sans heurt, dans un moteur de jeu de qualité avec l'aide du studio qui a crée ce moteur. C'est un jeu triple A où le combat n'est pas vraiment encouragé et où la mécanique centrale est la marche à pied et le transport de colis d'un point A à un point B. Et c'est contre toute attente absolument passionnant, riche mécaniquement, extrêmement bien dosé (à l'instar de MGSV ou Hitman 2, c'est un jeu qui ne pourrait être aussi bon s'il n'était pas fait par des vétérans), et narrativement inventif, bien qu'un peu engourdi par moment.
C'est aussi la création d'une sorte de sous-genre du jeu d'action et cette originalité en fait déjà un trésor.

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Si ce n'était que pour le "courage" d'enfin changer une formule éculée, je saluerai déjà Nintendo d'avoir essayé. Mais il se trouve que la transformation, même si elle ne tient qu'à cet épisode, s'est effectuée avec une maîtrise assez incroyable. BotW est l'archétype du monde ouvert tel qu'on l'imagine, liberté de mouvement et liberté d'action. La beauté de ce jeu tient déjà dans sa structure: on n'a qu'un seul objectif, abattre Ganon dans le chateau. À partir de là libre au joueur d'y aller et de se faire démonter, ou de prendre son temps pour cumuler les pouvoirs et armes pour y parvenir. Cela donne un Zelda beaucoup plus personnel à chaque joueur où les envies de découverte prennent le pas sur la logique vidéoludique de "un nouveau gadget = un nouveau donjon". L'histoire est toujours faible, mais le character design, comme souvent avec cette saga, fait beaucoup pour porter le jeu sur le plan narratif.
En fait, BotW c'est l'aventure avant tout, avec un grand A.

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Planet Coaster a été ma surprise de 2016. J'y allais pour retrouver les joies adolescentes d'un bon jeu de gestion de parcs d'attraction. Et je suis tombé amoureux du système de création libre du jeu, sur lequel j'ai passé plus de 200 heures à y construire mon parc Harry Potter de rêve.
De ses dix dernières années, c'est probablement le jeu le plus doux auquel j'ai joué, avec ses beaux graphismes colorés et cartoon, sa bande son folk et vocale de qualité et son système de partage de parc et d'objets qui permet d'étoffer plus ou moins à l'infini ses créations. DU PUR BONHEUR.

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Plateformer 2D Rogue-like, pas mal difficile, c'est ma drogue depuis qu'il a été offert gratuitement sur PS+ il y a quelques années. J'y joue pratiquement quotidiennement pour me faire le "daily run". C'est addictif et c'est devenu un de mes jeux préférés.

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C'est moins parfait. La faute à une production interrompue par un éditeur qui pète un câble? La faute à un réalisateur qui a eu les yeux plus gros que le ventre? On ne saura jamais vraiment. Tout ce qu'on sait, c'est que c'est tronqué sur la fin et que ça se répète beaucoup si on cherche à tout voir de fond en comble. En revanche, mais qu'est-ce que ça envoie mécaniquement, graphiquement, dramatiquement. La précision de la prise en main, du réglage des mécaniques, des intelligences artificielles, du design sonore, du design visuel...ça ne pouvait arriver qu'avec vingt piges dans le métier à itérer et à améliorer une formule. Un chef-d'oeuvre tronqué, mais un chef-d'oeuvre quand même.

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Aaaaaah Yakuza! Série à côté de laquelle je suis passé durant des années, suite à une visite du premier épisode sur PS2 qui ne m'avait pas laissé que des bons souvenirs. Mais grâce aux efforts acharnés et renouvelés d'un très bon ami fan de la saga, j'ai fini par craquer et recommencer la saga; Yakuza 1, puis 2 puis...4? Oui c'est celui que j'ai trouvé en magasin.
Le fait est que j'y ai passé une centaine d'heures à m'éclater du début à la fin. Sur son scénario aux milles rebondissements, d'un sérieux, d'un dramatique, d'un humour, et d'un ridicule parfois, tellement attachant, divisé en quatre personnages aux aspirations, aux personnalités et aux systèmes de combats bien différents (Yakuza reste un beat them up avant tout). Sur ses missions annexes qui proposent de découvrir les villes en détails, étayent l'atmosphère et souvent font beaucoup rire. Sur ses mini-jeux, jamais au rabais, fait avant tout pour réellement divertir et proposer une variété inégalée. C'est un peu le GTA japonais, sans les voitures et les armes à feu.
C'est un chef-d'oeuvre, parfois absurde, mais toujours classe...à la japonaise, c'est à dire too much et over the top.

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"Le point&clic le plus ambitieux jamais fait" comme j'aime à l'appeler est un jeu que j'aime énormément pour ses ambitions technique et structurelle, son histoire, son gameplay d'enquête mécaniquement assez poussé et sa volonté de laisser (dans une certaine mesure) le joueur se planter. S'il était parfaitement réussi, ça serait probablement mon jeu préféré period, tant je suis fan de détective, de true crime stories, de séries policières et de mécanique d'enquête et d'analyse de preuves. Il ne l'est pas, mais reste un de mes jeux favoris.

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LE SEUL LE VRAI. Premier jeu du phénomène des Souls, Demon's Souls gardera pour moi deux choses: quand j'y ai joué au tout début des années 2010, c'était une expérience unique: exigent, sombre, obtus voir opaque en terme de directions pour progresser, c'était un jeu en opposition des tendances de la génération PS360. Et si Dark Souls y a ajouté le monde "ouvert" sans chargement ou presque, les niveaux de Demon's Souls démontraient déjà ce level-design incroyable qui fait s'émerveiller le joueur lorsqu'il trouve un chemin qui boucle jusqu'à son point de départ. La seconde chose qui fait que je le préfère encore aujourd'hui à Dark Souls et ses suites/itérations, c'est l'atmosphère poisseuse et la direction artistique particulièrement glauque qui m'avait même fait me questionner sur son genre; n'était-ce pas ça le nouveau survival/horror?
Demon's Souls est et restera probablement à jamais mon jeu préféré de From Software.

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Toutes les qualités d'Hitman 2 (le meilleur jeu d'infiltration jamais fait) sont dans Hitman (2016). Je le mets un peu plus bas simplement parce que sa suite a encore affiné quelques petits éléments de gameplay, mais surtout parce que le système de déblocage d'amélioration, de scoring, l'ajout de quelques modes de jeux dans la suite, ont encore poussé la série puis haut, si c'était possible. Surtout, grâce au DLC "Legacy" pour Hitman 2, Hitman peut être entièrement rejoué dans Hitman 2.

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SSB4, c'est un jeu de combat fantastique: blindé de contenu solo, de modes de jeux pour apprendre à maîtriser son personnage, de personnages justement, même avant les DLCs. Mais c'est surtout pour moi la première fois que je m'amuse sur un jeu de cette saga, après m'être fait plumer sans fun dans Melee ou Brawl. J'y ai découvert d'abord ce qui était drôle dans le jeu, puis au fur et à mesure les subtilités de gameplay, grâce à des parties endiablées avec des amis. Et c'est aujourd'hui mon jeu préféré sur WiiU...après BotW.

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Probablement mon beat'em up préféré. Et ce n'était pourtant pas gagné. Je ne suis pas très fan du genre brawler que je trouve souvent abrutissant (je suis plutôt calme comme gars) et au moment de la sortie du jeu, je n'aimais pas du tout le design du personnage principal. Mais à force de persuasion de la part d'un très bon ami, j'ai fini par y jouer un peu, puis beaucoup, au point d'engranger plus 200 heures dessus, perfectionnant mes combos et débloquant littéralement tout ce qu'il y avait à débloquer dans le jeu (boss cachés, personnage jouable supplémentaire, toutes les armes, tous les bonus...). Encore aujourd'hui, ce qui me bluff, c'est le mélange entre le grand guignolesque de la trame, des situations, avec le côté purement épique des combats de boss. C'est DMC au féminin, un peu plus second degré et surtout plus simple à prendre en main mais avec la même profondeur. Incroyablement addictif et drôle et classe et...

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C'est le retour du REmake à la Capcom. Cet épisode est une réussite pratiquement totale d'une refonte d'un jeu que j'idolâtre depuis l'enfance et auquel j'ai joué tellement que j'en faisais des speedruns. Resident Evil 2 est MAGNIFIQUE et parvient assez incroyablement à rendre les zombies, lickers, Mister X et cie de nouveau très très effrayants, grâce à une qualité de modélisation, d'animation (les zombis bougent trop bien) et de lumière indéniable. Et déjà ça pour l'ambiance ça fait beaucoup. Mais là où le jeu parvient à être surprenant c'est dans sa réinterprétation du gameplay d'origine.
On aurait pu croire que le passage de la caméra fixe à l'épaule aurait fait baisser la tension; en caméra fixe, on ne peut pas viser où l'on veut, les esquives sont dures à exécuter à cause des contrôles "tank" et les devs pouvaient cacher des zombies derrière des angles de caméra un peu fourbes. Du coup que fait REmake 2? Déjà le level-design est un peu transformé, forçant le joueur même habitué à l'original à fouiller de nouveau les lieux. Ensuite les ennemis demandent beaucoup de balles, même dans la tête pour tomber, ce qui force à en laisser certains dans les pièces ou alors à les mettre au sol avec des tirs dans les jambes au risque de les oublier et de se faire croquer les chevilles par inadvertance. Et puis surtout, REmake 2 a revu complètement Mister X, le premier Nemesis de la saga pour qu'il ne soit pas qu'un bref passage dans chaque campagne, mais qu'il soit une menace pratiquement constante sur 2/3 des deux campagnes.

Au final, c'est un jeu superbement équilibré, qui fait peur et qui demande de bien réfléchir à ce que l'on fait pour progresser...comme l'original. Son seul défaut vraiment notable est le croisement des campagnes qui est un peu raté comparé à l'ambition narrative de l'original. Mais pour ce qui est réussi à côté, je laisse passer ça. Mon survival/horror préféré de ces dix années.

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Un dungeon crawler 2D en génération procédurale blindé d'humour pipi-caca-popo, d’Œdipe, de challenges croissant en difficulté, et de contenu tout simplement. Chose étrange, je déteste The Biding Of Isaac. L'original. Notamment parce que je n'aime pas la réalisation en dessins moches et surtout les imprécisions de gameplay et de hitbox qui gâchent la progression. Mais Rebirth en revanche...est absolument génial. Alors oui, c'est le même jeu. Sauf que la direction artistique est portée en pixel-art, ce qui lui sied beaucoup plus et que le jeu est devenu précis ce qui change complètement le feeling et la prise en main. Je ne saurai dire combien de run de ce jeu j'ai pu faire, mais ils se comptent en centaine.

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ÇA A MIS LE TEMPS. Assassin's Creed est, avec Call Of Duty, la saga de jeux vidéo où personne ne peut s'empêcher de les acheter même en s'accordant sur le fait qu'il faut arrêter de les sortir tous les ans. Après une qualité en déclin depuis le second volet, malgré quelques fulgurance, parfois narrative (Revelations) parfois de gameplay (Unity), il aura fallu attendre Origins pour revoir la série sortir quelque chose de cohérent, d'intéressant à suivre et de plaisant à jouer. Excellent protagoniste qui re-contextualise les aspects débiles de l'histoire d'AC par le prisme de la mythologie égyptienne. Gameplay orienté vers l'exploration et accompagné d'un système de combat solide. C'est l'un des premiers jeux vidéos en monde ouvert où l'on peut se passer entièrement de l'ATH sans en souffrir et c'est beau l'Égypte, c'est vaste, ça donne envie de voyager. Probablement mon AC préféré, et après des années à ne plus vraiment aimer la saga, ça réchauffe le cœur.

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Je n'ai jamais attendu de jeu comme j'ai attendu RDR. Et je n'ai jamais plus attendu de jeu comme j'ai attendu RDR. Le meilleur jeu de l'année 2010 probablement. Un titre qui a un peu vieilli à certains endroit (la partie Mexicaine tire le rythme vers le bas) mais qui dans l'ensemble garde sa beauté visuelle, évocatrice, son amour du Far West, autant pour ses bastons que sa nature gigantesque et sa vie simple. C'est un vraiment un beau jeu construit sur la base de la saga GTA qui est bien plus cynique dans son propos et dans décor.

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Le moment où (ENFIN) Capcom a fini par vraiment revenir au genre survival/horror après des années à le promettre avec RE5, RE6, RE:Revelations 1 et 2...voilà RE7 c'est un soft-reboot et en vue à la première personne. C'est paradoxalement le meilleur point d'entrée dans la saga actuellement, grâce à un level-design se rapprochant du premier opus, mais misant sur des lieux plus petits mais plus nombreux. Mais grâce également à un scénario qui se passe entièrement du lore très fun, mais aussi très complexe des six épisodes canoniques précédents (sept en comptant Code Veronica et neuf en comptant les deux Revelations). C'est aussi un jeu qui fait peur et qui devient juste terrifiant sur PSVR, la version ultime du jeu à l'heure actuelle. Mon second survival/horror préféré de ces dix années.

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Ça a été un coup de foudre instantané pour le jeu malgré les conditions déplorables dans lesquelles je l'ai découvert (sur un PC portable en 25FPS grand maximum). La raison à cela est le fait que c'est un jeu où un être humain normal visite la maison d'autres êtres humains normaux. Et la banalité de la chose, l'aspect terre à terre donne vie à ce récit qui pourrait être le notre. Avec ces instants où l'on trouve des copies cachées des romans invendues de Papa, ou des mails qui font douter de la fidélité de Maman. Gone Home c'est un peu explorer le voyeurisme extrêmement coupable que l'on peut avoir pour sa propre famille.

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Un bijou d'infiltration en coopération. C'est archi-drôle du début à la fin, dans la présentation qui ne paie pas de mine mais qui est ultra lisible, dans les dialogues débiles à souhait, dans le level-design ultra intelligent qui laisse la place à des boulettes énormes qui font éclater de rire. Excellent à partager!