Les meilleurs jeux vidéo français selon Ginko-Leon

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SandFall Interactive.

Que dire, que dire; une réussite éclatante et un succès insolent pour un jeu qui ne possède pourtant guère le budget le plus élevé de cette liste mais est pourtant le seul à avoir intégré mes jeux préférés. Bravo aux jeunes développeurs effectivement très talentueux.

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Don't Nod Entertainment.

Le spin off Captain Spirit est également une franche réussite!

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Quantic Dream.

Le meilleur de leur trilogie de récits interactifs (quadrilogie en incluant Fahrenheit) , même si Heavy Rain mérite également d'être mentionné.

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Game Bakers.

Peut être l’œuvre la plus radicale de cette liste et qui, en dépit de ses incohérences narratives, n'éparpille jamais sa réflexion au delà de sa thématique centrale, explorant ainsi le concept du duel sous des formes insoupçonnées.

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Arkane Studios.

Bon là toute la série mérite carrément d'être mentionnée mais j'ai quand même une légère préférence pour ce premier opus qui a tout apporté. :p (et qui parvient également à véhiculer davantage d'empathie envers ces personnages et les enjeux de son univers)

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Asobo.

Premier essai et un coup de maître!

Parfois grossier dans son écriture et ses mécaniques de jeu, l'ambiance fonctionne malgré tout à merveille et la gestion du rythme est remarquable. Un concept épuré et maitrisé pour une belle aventure. Assez déçu par Requiem par contre.

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Cyanide.

Probablement le jeu le plus sous-estimé de cette liste à mon sens. ;) Je n'y avais au départ joué que pour patienter en l'attente de la troisième ou quatrième saison de la série télévisée avant d'être véritablement conquis par le récit de ce RPG bien plus réussi qu'il n'y paraît!

Parmi les (nombreuses) autres productions de ce studio, le premier Styx mérite également votre intérêt, même si sa suite décevante n'a hélas pas réussie à en transcender la formule.

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Spiders.

Les précédents RPG de ce studio ne m'ont jamais réellement convaincu, ce qui n'a fait qu'embellir l'excellente surprise de cette nouvelle proposition.

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Soclap.

Absolver était déjà une expérience intrigante mais nul doute que ce second jeu demeurera bien davantage dans les mémoires. Un jeu perfectible à bien des égards mais une expérience vraiment atypique, malgré tout.

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Tindalos Interactive.

A la fois une excellente adaptation d'Aliens de Cameron (là où Isolation était un hommage au film de Ridley Scott) et une vraie alternative convaincante à XCom. Une belle surprise.
Pensez à mettre quelques points de compétence dans la persévérance par contre parce que c'est intraitable au Royaume des Aliens. :p

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Monkey Moon.

Probablement l’œuvre la plus convaincante de cette liste en ce qui concerne la qualité de son écriture, notamment les dialogues savoureux avec les nombreux passagers qui parsèment cette vision amère mais juste de la capitale. L'intérêt en matière d'interactivité est malheureusement moindre donc appréhendez le comme un jeu narratif au lieu du jeu d'enquête auquel cette œuvre aspirait vraisemblablement.

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Digixart Entertainment.

Soldats Inconnus m'avait laissé un souvenir mitigé par le décalage entre la naïveté apparente de son esthétique, l'aspect surréaliste de ces phases de gameplay à l'égard de la dureté du conflit dépeint (même si la fin était pourtant parvenue à me faire verser quelques larmes).

Un problème de dissonance largement résolu dans cette nouvelle œuvre bien plus cohérente dans son ensemble et parsemée de nombreuses idées ingénieuses pour dépeindre la triste réalité de ce conflit mondial. A prendre avec précaution pour les cœurs sensibles, ceci dit.

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BlueTwelveStudio.

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Ocelot Society.

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Ubisoft Montpellier.

Théoriquement, j'aurais plutôt dû évoquer Rayman Origins ou Legends mais quitte à mentionner un jeu d'Ubisoft Montpellier, j'avoue que je préfère davantage me souvenir de celui là pour la proposition alternative qu'il a représenté à une époque, même si cette dernière n'a pas vraiment été réitérée depuis au sein de ce studio gargantuesque.

Annotation :

Artefact Studios.

Annotation :

Pour évoquer également un jeu d'Ubisoft Paris / Montreuil.

Annotation :

Parallel Studios.

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Playwing.

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Plug in Digital.

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Big Bad Wolf (Cyanide Bordelais)

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Lexis Numerique.

Annotation :

Lightbulb Crew.

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Osome Studios.

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Swing Swing Submarine.

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Elseware Experience.

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1P2P Studio.

Arrêté à mi-chemin.

Une fois n'est pas coutume, c'est vraiment par chauvinisme que j'ai acheté ce titre. J'avais apprécié le trailer et je pensais l'essayer à l'occasion mais quand je me suis rendu compte qu'il était déjà sorti depuis belle lurette et que je ne parvenais même pas à le trouver en tapant son nom dans le PsStore, j'ai eu l'impression que le jeu avait salement bidé en terme de ventes.

J'adhérais bien à son esthétique qui porte sacrément la marque de l'univers Ankama tout comme sa démarche qui pourrait vaguement faire songer à celle d'un Persona entre l'alternance d'un monde fantaisiste et d'un ancrage plus réel mais malheureusement, j'ai trouvé le jeu très rapidement redondant; l'expérience ne parvient pas vraiment à créer une routine intéressante entre l'exploration des donjons et les retours dans le monde réel (contrairement à un Persona donc) et j'ai eu du mal à apprécier le système de combat; malgré un challenge intéressant dans le mode de difficulté recommandé. Sans doute est-il appréciable à deux joueurs et je lui redonnerais peut être sa chance ainsi à l'occasion mais en solo, j'avoue que l'ennui était assez présent.

De plus et là c'est très subjectif; je n'adhérais pas du tout à la mentalité adolescente / puérile des deux protagonistes qui devenaient plus antipathiques et exaspérants quand ils se voulaient rebelles et décomplexés.