Les meilleurs livres sur le cinéma selon PolaireFerroviaire

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Un livre de base, très bien construit, synthétique, mais avec des pistes cinématographiques et bibliographiques pour approfondir.

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Non seulement les propos d'André Bazin sont intelligents, mais en plus ils sont clairs. Et il a des intérêts très éclectiques, ce qui fait que quelque soit notre genre cinématographique préféré, il y a des chances pour qu'on y trouve son bonheur.

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C'est clair et pratique, excellent pour une néophyte comme moi.

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Tous les livres de cette collection éditée par Les Cahiers du Cinéma et Canopé / CNDP sont excellents. C'est clair, didactique, ça mêle théorie et analyse pratique.

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Une bonne base intelligente, claire, bien construite. Même s'il n'y a pas mes films préférés dedans, cela jette assez de bases pour pouvoir les utiliser pour d'autres oeuvres.

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Il faut bien en choisir un seul sur le décor. Léon Barsacq a des fulgurances sur la théorie du décor excellentes, ce qui me fait le préférer même s'il est ancien. Mais "Le décor de cinéma" de Françoise Puaux et "Le décor au cinéma" de Jean-Pierre Berthomé" sont très bons aussi.

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Certes, le sujet est très pointu (sur les débuts du cinéma policier) mais c'est intelligent. On y découvre les inspirations multiples du cinéma, qui auront une influence définitive : la presse, l'affiche, le cirque, la pantomime, le music-hall, la littérature... Et puis c'est beau, donc je le fais figurer dans mon top !

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Une réflexion intéressante sur la place de l'attraction dans le cinéma, que ce soit dans les thèses d'Eisenstein ou dans son rapport avec les fêtes foraines. Je trouve toujours revigorant de se rappeler qu'à la base, le cinéma est une attraction foraine, et donc que, oui, les blockbusters à grand spectacle sont du cinéma ! On peut le lire gratuitement sur https://books.openedition.org/septentrion/9449

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Une honnête somme sur le cinéma des années 1930 à 1950, qui en plus offre un angle (le cinéma des années 40 et 50 copie sans originalité celui des années 30, en plus réactionnaire, pessimiste et misogyne). En fait, sur le sujet, je préfère "Mist of regrets" de Dudley Andrew, mais il est en anglais, et un peu trop pointu, donc pas présent sur Sens Critique.

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Un beau panorama, même s'il date un peu. Dommage d'ailleurs qu'aucune somme ne soit sortie sur le sujet depuis (il y a bien l'excellent "Le film noir français" de Thomas Pillard, mais il ne couvre que les années 1945 à 1960).