Les meilleurs openings/endings d'animes japonais selon toma Uberwenig

Annotation :

Le générique est une pure beauté qui me fout la larme à l'oeil immanquablement. Chanté en latin, servi par des images et des phrases cryptiques qui ne feront sens qu'au fur et à mesure de la diffusion de la courte série, ce générique réussit en plus à se bonifier avec le temps, le pincement au coeur de cette musique tragique s'accentuant inexorablement.

Annotation :

Plutôt que d'ajouter chaque série, trichons (claude) allègrement, et listons :
- le premier : pose une ambiance sombre et offre une des spécialités de la série : une avalanche de foreshadowing qui ne déploieront leur sens que plus tard (bien plus tard pour certains)
2. Même forces (et faiblesses) que le premier : une harmonie entre image et son qui se répondent, du foreshadowing, mais en toute honnêteté, je n'ai accroché qu'à moitié aux deux premiers.
3 c'est donc le fameux Sasageyo qui reste peut-être encore en tête de tous les fans et ex-fans de la série.
4. Déception pour certains, pas pour moi. Je le trouve même plutôt émouvant.
5. Une repompée des deux premiers, pour le meilleur et le pire.
6 Là, on annonce une bascule dans le style, le propos, et il fait partie d'un de mes préférés.
J'arrête la liste là, car le post métal, musicalement, (ce n'est pas le bon terme mais bon) me gâche le plaisir, même s'il est, pour le coup, parfaitement à propos.

Et le seul vrai reproche que je fais à la plupart des génériques, même mes préférés, reste qu'aucun générique n'arrive à la cheville des scènes les plus épiques des épisodes, là où très très souvent, le générique est soigné à un degré qui crée une attente parfois démesurée, mais bon, on reste sur le très haut du panier.

Annotation :

Formellement original, dynamique, jouissif, une musique qui déboite. Un petit bonheur en barre (pour la saison 1)

Annotation :

Bon, le style me parle un peu moins, mais entre l'intro prégénérique qui transpire la classe, et la réalisation impeccable des images qui illustrent les génériques successifs, c'est quand même du très bon!

Annotation :

Opening en version japonaise bien sûr!
La plupart des musiques de Goldorak sont épiques, de vraies réussites tirées d'une époque où les génériques nippons étaient très souvent excellents, mais la version japonaise de "accours, accours, prince de l'espace..." reste un de mes petits favoris.
(mais bon, en français, on avait quand même l'excellent "dans l'espace, infini, tu rejaillis à nouveau, LE PLUS PUISSANT DES ROBOOOOTS, toi Goldorak prêt à tous les assault!", et c'était classe)

Annotation :

Bon, là, c'est peut-être la nostalgie mal placée qui parle, je ne sais pas. Mais bon, qu'est-ce que le générique est épique, quand même, quoi!
Et l'ouverture transpire la classe, pour ce qui s'en souviennent.

Annotation :

Préférence pour le générique japonais, là encore, mais ceux qui ont découvert cet anime à l'époque ont toujours cette tendresse pour le générique bien burné de la version française.

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opening première saison, une claque.

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Le générique japonais est une petite perle jazzy/funky à l'image de l'OST en acier trempé de la série.

Annotation :

opening sombre, générique teigneux (on avait notre punk dédié, nous, les enfants des 80's, avec sa voix gueularde "tu erres tu erres à la recherche de la teeeeeerrre!"). Là aussi, toute l'OST de cette coproduction entre Europe et Japon est juste excellente!

Annotation :

Saint Seya, le générique japonais, piétine sans vergogne Bernard Minet, et heureusement (purée, quand je pense que ce guignol a osé dire qu'il faisait des génériques originaux parce que les génériques japonais, c'était fait à la va-vite et toujours la même chose...hum)

Annotation :

Du bonheur et de l'epicness plein les oreilles!

Annotation :

Le générique japonais d'Askadis est une petite perle qui reste dans la tête et qui enterre le générique français, pourtant de bonne facture. Mais on ne peut pas lutter contre un mec qui ose faire le dernier coupler en chantant "lalalaa lalalaaa lalalaaaa". Rien.

Annotation :

Si quelque'un a vu Lodoss à l'époque, et n'a pas la petite larme à l'oeil à chaque début d'épisode, entre le prégénérique épique et le générique contemplatif avec cette petite chanson qui hante les souvenirs des amateurs du genre depuis plus de vingt-trois ans... ben ce quelqu'un est un robot, c'est tout!

Et même le générique de fin est bien!

Annotation :

que ce soit la mouture 78 ou 84, les OST sont fabuleuses, et les génériques français plutôt soignés, sans égaler la classe de leurs homologues originaux.

Annotation :

Le matin, très tôt, avant que le soleil même soit levé, sur la Cinq, il y avait des heures de dessins animés le dimanche, parmi lesquels une des meilleures séries SF de son époque, Robotech.
Alors forcément, quand je réentends le générique aujourd'hui, ça me fout la larmiche à l'oeil, quoi!

Annotation :

Oui, c'est de l'epicness en concentré, ça, môssieu!

EDIT : j'ai confondu avec l'excellent morceau Dance of the Curse qui sert de pré-générique, si mes souvenirs sont bons, et qui transpire l'epicness. Le generique est moins bon.