Des graphismes pop qui restituent la vitalité de la France des late sixties, des cadrages et des jeux d'ombres dynamiques qui créent de légères atmosphères ensoleillées et des ambiances mélancoliques ou inquiétantes, le tout au service d'un touchant récit autobiographique qui évolue en efficace thriller d'espionnage.
Vachement bien !

AlexandreAgnes
8
Écrit par

Créée

le 19 juil. 2016

Critique lue 193 fois

2 j'aime

Alex

Écrit par

Critique lue 193 fois

2

D'autres avis sur L'Été Diabolik

L'Été Diabolik
EricDebarnot
9

Les diaboliques

En 1967, j'avais dix ans, et je n'avais pas la chance de vivre sur la Côte d'Azur comme Antoine Lafarge, le héros (et narrateur du livre dans le livre) de "l’Été Diabolik", je lisais "le Journal de...

le 2 août 2016

5 j'aime

3

L'Été Diabolik
Gzaltan
8

Une adolescence glanant les ombres.

Attendu depuis plusieurs mois, voici le nouveau Smolderen dont le trait m'avait déjà attiré avec Souvenirs de l'empire de l'atome. Bien loin de la science-fiction du premier opus, cette nouvelle...

le 15 févr. 2016

4 j'aime

1

L'Été Diabolik
JulieToral
7

Eté comme hiver

L'histoire s’essouffle dans la 2e partie et ses explications ; il y avait dans la première beaucoup plus de subtilité et de suspense je trouve, du fait du regard arrière porté par le narrateur sur...

le 19 déc. 2020

3 j'aime

Du même critique

Au revoir là-haut
AlexandreAgnes
9

On dit décidément MONSIEUR Dupontel !

La Rochelle, 26 juin. Jour de mon anniversaire et de l'avant-première de Au revoir là-haut en présence d'Albert Dupontel. Lorsqu'il entre dans la salle à la fin de la projection, le public...

Par

le 27 juin 2017

53 j'aime

4

Mektoub, My Love : Canto uno
AlexandreAgnes
4

Si "le travelling est affaire de morale", ici le panoramique vertical est affaire de vice

Je n'accorde habituellement que très peu de crédit au vieux débat clivant qui oppose bêtement cinéma populaire et cinéma d'auteur (comme si les deux étaient deux genres définitivement distincts et...

Par

le 27 mars 2018

48 j'aime

19

Arès
AlexandreAgnes
6

Ne pas jeter bébé avec l'eau du bain

Voilà un long métrage qui, en apparence, accumule les défauts : une erreur monumentale dans le choix de la date dès le carton d'ouverture (l'action se situe dans un Paris post-apocalyptique...

Par

le 24 nov. 2016

43 j'aime