L'adaptation des œuvres de Lovecraft en manga est à la fois une bonne idée et un choix étrange.
Pour autant j'avais apprécié le premier tome lu.
Ici Gou Tanabé s'attaque à un roman plus complexe à adapter car jouant sur une couleur qui n'existe pas.
Son choix de la retranscrire en ondes diffuses n'est pas bête mais donne comme l'impression que ce n'est pas terminé.
En dehors de cela, le récit est court et le dessin parfois un peu trop sombre. Par sombre j'entends juste qu'il y a trop d'encrage. Cela rend la lecture parfois désagréable, ce qui ne m'était par ressorti auparavant.
Un détail qui à son importance, si jamais l'éditeur passe ici on ne dit pas UN météorite mais UNE météorite. Une coquille ça peut arriver, une coquille répétée pas mal de fois c'est franchement moche.
Bref, un manga sympathique et qui se laisse bien lire.