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La geste humaine
Dans la même veine esthétique que pour Le goût du chlore, Vivès poursuit son exploration du geste humain. Ici, la danse succède à natation, toujours avec la même grâce pour un trait ténu et d'une...
le 23 oct. 2013
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Nous rencontrons des problèmes techniques sur la partie musique du site. Nous faisons de notre possible pour corriger le souci au plus vite.
Fly like a butterfly, sting (in the heart) like a bee
Léger comme ballet et gracieux comme un choré. J'ai adoré cette BD.
On sentait déjà cela avec une de ces BD précédentes, le gout du chlore, mais là c'est magnifié.
Le trait est fin, précis sans fioriture. On dirait du Saint Exupéry quand la perfection est atteinte pas quand il n'y a plus rien à ajouter mais quand il n'y a rien à retrancher. Le découpage est fantastique, et la composition des cases "hypnotiques". Combien de fois, on s'arrête, pour réfléchir, chercher, deviner ce qui est dit, murmuré.
Y a une réelle maturité dans cette BD. Du Mitsuru Adachi. Tout en non dit. En délicatesse.
A quand le cinéma Bastien Vives ?
On sentait déjà cela avec une de ces BD précédentes, le gout du chlore, mais là c'est magnifié.
Le trait est fin, précis sans fioriture. On dirait du Saint Exupéry quand la perfection est atteinte pas quand il n'y a plus rien à ajouter mais quand il n'y a rien à retrancher. Le découpage est fantastique, et la composition des cases "hypnotiques". Combien de fois, on s'arrête, pour réfléchir, chercher, deviner ce qui est dit, murmuré.
Y a une réelle maturité dans cette BD. Du Mitsuru Adachi. Tout en non dit. En délicatesse.
A quand le cinéma Bastien Vives ?
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le 10 mars 2012
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