8
Body parts.
Produit par la Nikkatsu et sorti sur nos écrans en catimini durant l'été 2012, dans une version écourtée d'une bonne demie heure pour le marché international, Guilty of romance est le premier film du...
Par
le 29 avr. 2015
34 j'aime
9
Un film déroutant mais prenant
Sion Sono nous sert un film percutant, viscéral.
Ce qui est bien avec ce réalisateur, une qualité qui peut se transformer en un défaut, c'est qu'il ne se met aucune barrière, aucune limite, qu'il nous propose sans filtre sa vision personnelle de son idée, de son œuvre.
Dans celui-ci, le film commence sous les traits d'un thriller policier classique mais qui laisse vite place à un film qui pointe du doigt des sujets tabous ou complexes de la société japonaise au niveau des mœurs, de la sexualité débridée des femmes japonaises.
Ou comment suivre rapidement la chute d'une femme au foyer classique vers la dépendance sexuelle qu'elle découvre et mord à pleine dent.
Un film qui peut être perçu comme du voyeurisme et de la perversion mais comme à chaque fois, un message fort est mis en avant, un message qui nous remet en question sur certains aspects de la société sans être propre et exclusive à la vie nippone.
Une œuvre majeure qui joue sur les sentiments, la confiance, la naïveté en montrant jusqu'où peut aller une personne à l’origine banale pour s'épanouir et se libérer.
Ce qui est bien avec ce réalisateur, une qualité qui peut se transformer en un défaut, c'est qu'il ne se met aucune barrière, aucune limite, qu'il nous propose sans filtre sa vision personnelle de son idée, de son œuvre.
Dans celui-ci, le film commence sous les traits d'un thriller policier classique mais qui laisse vite place à un film qui pointe du doigt des sujets tabous ou complexes de la société japonaise au niveau des mœurs, de la sexualité débridée des femmes japonaises.
Ou comment suivre rapidement la chute d'une femme au foyer classique vers la dépendance sexuelle qu'elle découvre et mord à pleine dent.
Un film qui peut être perçu comme du voyeurisme et de la perversion mais comme à chaque fois, un message fort est mis en avant, un message qui nous remet en question sur certains aspects de la société sans être propre et exclusive à la vie nippone.
Une œuvre majeure qui joue sur les sentiments, la confiance, la naïveté en montrant jusqu'où peut aller une personne à l’origine banale pour s'épanouir et se libérer.
9
Écrit par
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Films vus en 2014, Les meilleurs films coup de poing, Les meilleurs films de 2012, Les films avec les meilleurs méchants et Les meilleurs films japonais
Créée
le 6 févr. 2014
Critique lue 412 fois
3 j'aime
D'autres avis sur Guilty of Romance
3
Le Chaperon Rouge fait du porno
Ce qui suit a été écrit d’une traite pour préserver la nature brute de l’écrit donc si vous voyez des fautes de syntaxe ou autre, c’est voulu. Voilà, c’est dit. Difficile de ne pas être subjugué...
Par
le 31 juil. 2012
22 j'aime
9
I stand still inside your tears.
Shion Sono c'est l'enfant mal-aimé du cinéma nippon, n'ayant jamais été distribué en France. Pourtant culte, que ça soit pour son Suicide Club (ainsi que le manga qu'il en a fait), Cold Fish, ou...
le 10 juil. 2012
17 j'aime
Du même critique
9
Devoir d'enquête
Le générique, tout commence par le générique ultra classe et artistique. Une succession de portraits, de grimaces, de poses, de visages aux allures excentriques, le tout soutenu et solidifié par une...
Par
le 12 août 2014
16 j'aime
3
10
Pour résoudre un problème, faites appel à la Violence.
Alors là avec ce The Raid 2: Berandal, on a du très lourd dans le domaine de la castagne, du bourre-pif. Le ton est très vite donné avec une introduction explicite. Ce que j'apprécie avant tout avec...
Par
le 24 juin 2014
15 j'aime
3
8
La Logique du non-sens
Ce film piétine et chamboule votre cerveau du début à la fin. La logique ? dans tes fesses. Une histoire, une trame narrative peut-être ? Te fous pas de ma gueule. Mais la base du film ? Des pénis...
Par
le 23 août 2016
11 j'aime
2
