Pas une critique quelques articles de presse et lien d'une vidéo avec Hafsia Herzi présentant son fi

Pas une critique quelques articles de presse et lien d'une vidéo avec Hafsia Herzi présentant son film

https://www.lemonde.fr/culture/article/2021/07/21/bonne-mere-hafsia-herzi-rend-hommage-a-sa-mere-et-a-toutes-les-autres_6088996_3246.html

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« Bonne Mère » : Hafsia Herzi rend hommage à sa mère, et à toutes les autres

L’actrice et réalisatrice brosse le portrait d’une femme qui porte sa famille à bout de bras, dans les quartiers nord de Marseille.

Par Véronique Cauhapé Publié le 21 juillet 2021

L’AVIS DU « MONDE » – À VOIR

Son premier long-métrage, Tu mérites un amour (2019), avait été sélectionné à la Semaine de la critique à Cannes et au Festival du film francophone d’Angoulême, où il avait obtenu le Valois de la mise en scène. Cette année, son deuxième film, Bonne Mère, s’est, lui aussi, retrouvé sur la Croisette, dans la sélection Un certain regard, qui lui a attribué le Prix d’ensemble. C’est dire si la réalisation réussit à l’actrice Hafsia Herzi, qui, depuis sa révélation dans La Graine et le Mulet (2007), d’Abdellatif Kechiche, a joué dans plus d’une trentaine de films. Et lui sied, si l’on en croit la façon bien à elle, énergique et tendre, qu’elle a trouvée pour raconter ses propres histoires.

Dans Bonne Mère, il s’agit des quartiers nord de Marseille (où a grandi Hafsia Herzi) et de Nora (Halima Benhamed), qui y élève seule ses cinq enfants. Son visage en plan rapproché ouvre et ferme le film. Il dit la fatigue, la douceur et la dignité de ce personnage auquel s’est attachée la réalisatrice, pour rendre hommage à sa mère et à toutes les autres. « Tant que je serai debout, je resterai solide », dit Nora à l’un de ses fils, se résumant elle-même. Inutile de chercher meilleure formule. Celle-ci est la plus juste, la plus incarnée à l’image. Et ce, grâce à la présence magnifique de son interprète, Halima Benhamed, actrice non professionnelle dont on se demande, dès les premiers plans, si elle joue un rôle ou si elle est elle-même.

Car avant d’être un personnage, Nora, comme on dit populairement avec admiration, « c’est quelqu’un ». Levée avant l’aube pour se rendre à l’aéroport où elle travaille comme femme de ménage, elle passe au retour chez une vieille femme dont elle fait la toilette, les courses et la cuisine, avant de rentrer chez elle s’occuper de son appartement et de ses enfants. Deux filles, l’une qui travaille et l’autre pas. Deux fils, l’un bon gosse et bon élève, l’autre, glandeur qui se prend pour un héros. Et puis, il y a l’aîné, en prison, auquel elle rend visite pour lui remonter le moral.

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https://www.lesinrocks.com/cinema/hafsia-herzi-jai-la-nostalgie-de-mon-quartier-a-marseille-37058-07-05-2011/

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Hafsia Herzi : « J’ai la nostalgie de mon quartier à Marseille »

par Pierre Siankowski Publié le 7 mai 2011

Révélée par « La Graine et le Mulet », à l’affiche de deux films présentés au Festival de Cannes, Hafsia Herzi évoque son Marseille : celui du XIIIe, des plages et des cheveux repassés. Article extrait de notre numéro spécial Marseille, en kiosque jusqu’au 10 mai.

« Je suis née à la clinique Beauregard dans le XIIIe arrondissement et j’ai toujours vécu là avant de venir m’installer à Paris. Le XIIIe fait partie de ce qu’on appelle généralement “les quartiers Nord”. J’ai d’abord habité aux Oliviers, puis vers l’âge de 10 ans, j’ai déménagé à Bellevue. Toute ma famille vit encore là-bas.

J’ai quatre grands frères et une grande soeur. On a grandi tous ensemble. J’ai encore ma chambre chez ma mère, je redescends le plus souvent possible. Elle me raconte la vie du quartier tous les jours au téléphone. L’autre fois, elle m’a dit que le tabac près de notre ancien immeuble avait brûlé. Elle est mon fil d’info quotidien, directement relié au XIIIe arrondissement de Marseille.

Chaque fois que je reviens dans mon quartier, j’éprouve une certaine nostalgie. Ça a été très dur pour moi de prendre la décision de vivre à Paris. Si je n’avais pas fait du cinéma, je serais certainement devenue infirmière et je serais restée à Marseille. J’aurai bossé dans l’un des hôpitaux de la ville. J’ai passé beaucoup de temps dans le XIIIe : on restait sur place, parce qu’on n’avait pas de voiture. J’ai encore beaucoup d’amis là-bas : on essaie de se voir, mais c’est compliqué car je suis loin. Parfois ils viennent me voir à Paris.

« C’était un peu la misère, mais je ne m’en rendais pas compte »

J’ai étudié au collège Rostand, puis au lycée Diderot, des lycées très animés. Les Oliviers, comme Bellevue, ça n’était pas très beau. C’est toujours le cas de grandes tours aux couleurs usées par le temps. C’était un peu la misère, mais je ne m’en rendais pas compte. Au contraire, j’ai de très bons souvenirs. On n’avait rien et on s’amusait. On parlait des heures avec mes copines, on était assez drôles je crois. On s’envoyait des vannes : le Marseillais est moqueur. Mes copines, c’était des sketches.

A Marseille, les filles ont du caractère, elles ne se laissent pas faire. J’ai utilisé ça quand j’ai réalisé un petit court métrage, Le Rodba. C’est très théâtral Marseille, on croise des acteurs à chaque coin de rue, et on s’en sort toujours avec de la tchatche. Pourtant, ce qui nous manque, ce sont des cinémas, des théâtres. A Marseille, on ne fait pas de place à la culture, je ne comprends pas pourquoi. J’ai toujours eu du mal pour voir des films ; la majorité je les ai vus à la télévision, pas en salle.

« J’aimerais tourner un film ici »

J’ai passé tous les castings de Marseille. Je décortiquais tous les journaux qu’on avait dans la boîte aux lettres. J’ai même fait celui de Plus belle la vie, on m’a refusée. A Marseille, ce qu’on trouvait avant tout, c’était de la figuration. Moi je voulais une phrase dans un film, c’est tout, et puis il y a le film d’Abdellatif Kechiche, La Graine et le Mulet : le casting s’est passé à Marseille, j’ai eu de la chance. Devenir actrice, c’était un rêve. Marseille est une ville très cinématographique. Elle est assez peu exploitée. J’aimerais tourner un film ici. Ça fait vraiment partie de mes projets.

L’été, je passais beaucoup de temps à la plage. Les Catalans, le Prophète, le Prado. Quand on a eu une voiture avec mes copines, on est allées vers des plages plus lointaines : Saint-Cyr-les-Lecques, ou encore La Ciotat. On partait à 9 heures, on rentrait vers 20 heures. On était bien, allongées sur le sable à ne rien faire : on bronzait jusqu’à se brûler.

La plage, ça drague énormément. Ça se la joue un petit peu mais c’est gentil. Les garçons peuvent être assez drôles : ils t’écrivent des poèmes, des chansons. Un mec a écrit une chanson à une copine juste après lui avoir demandé son prénom – ça n’a pas marché pour lui, même si la chanson n’était pas mal…

Avec mes copines, on pouvait passer des heures à parler en regardant la mer : l’école, les séries, les garçons, les autres filles, on était des pipelettes. On était très coquettes aussi, on se faisait des brushings, des couleurs. Je me suis teint les cheveux en rouge une fois. On rêvait d’avoir les yeux clairs : j’ai mis des lentilles grises, mais après j’ai eu les yeux rouges. On voulait absolument avoir les cheveux raides, et vu qu’on ne pouvait pas toujours se payer des brushings, on se mettait les cheveux sur la planche à repasser et on se passait le fer dessus. Je ne pense pas que ce soit une technique marseillaise, enfin peut-être.

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https://www.lesinrocks.com/cinema/bonne-mere-celle-qui-veille-sur-nous-389510-20-07-2021/

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Hafsia Herzi confirme son talent de réalisatrice avec une “Bonne Mère” pudique et lumineuse

par Emily Barnett Publié le 20 juillet 2021

Pour son second long métrage, l’actrice et cinéaste s’interroge sur la puissance d’abnégation d’une “mater dolorosa” moderne, dans une cité de Marseille.

Il faut attendre l’avant-dernier plan de Bonne Mère, et voir apparaître un oiseau en cage, pour bien se persuader que le film que l’on vient de regarder, le second de sa réalisatrice après la percée de Tu mérites un amour (2019), n’était pas juste un feel good movie sur une famille habitant une cité de Marseille.

De même, cette ville, si prégnante dans le bagou des personnages, on l’entraperçoit à peine. Et il faudra patienter longtemps avant de voir la Méditerranée. En somme, Hafsia Herzi n’est pas vraiment là où on l’attend. Ce n’est ni un film solaire, ni un film de galère. Un film d’amour peut-être. Encore. Mais l’amour qui sort du champ amoureux pour forer ici la puissance des attaches familiales.

Cette famille, c’est celle de Nora, une femme extraordinaire (la force tranquille de Halima Benhamed). On connaît ces portraits de saintes mémorables, comme chez Rossellini ou De Sica. Herzi filme sa vie comme une succession de tâches ingrates, entre son travail – elle est agente de propreté dans un aéroport – et un modeste foyer où elle fait la bonne pour ses quatre enfants et petits-enfants. Les pères ? Inexistants. Son deuxième fils ? En prison.

Quand don de soi et dépouillement deviennent un piège

C’est une vie qui commence et finit dans les transports. Une vie de galérienne. Mais Nora ne bronche pas et éclaire le film de sa bienveillance avec tous·tes – collègues, famille, une dame âgée dont elle s’occupe bénévolement. Bonne Mère est comme une tentative de dessiner et circonscrire les limites de cette sainteté.

On se demande sans cesse quand le vernis de cette effigie va craquer, mais il ne craque pas. Et la caméra de Herzi est aussi aspirée par la puissance d’abnégation de cette mater dolorosa dont elle interroge les ressorts sacrificiels. Quand don de soi et dépouillement deviennent un piège.

A lire aussi : Hafsia Herzi, l’interview CULTE

En contrepoint de ce portrait, Herzi décrit un conflit entre générations. Les enfants ne veulent pas faire le dos rond et cherchent l’argent facile qui sauve (petit banditisme, prostitution). Si l’on veut comprendre le point de rupture entre “jeunes” et “vieux” dans une familel dysfonctionnelle issue de l’immigration, il faut voir ce film qui révèle tout sans jamais rien expliquer.

Aux grands constats sombres, la cinéaste préfère la lumière ; la chaleur d’un repas partagé ; l’étreinte entre une mère et son fils. Mais la mise en scène se passe à huis clos et raconte un monde compartimenté, fait de vitres et de grillages. Ne pas se tromper donc sur les sourires du film. Ils sont une manière de survivre dans un monde privé d’horizon. La petite fille de Nora, si gracieuse a l’écran et la dernière de cette filiation, pourra-t-elle tout changer ?

Bonne Mère de Hafsia Herzi, avec Halima Benhamed, Sabrina Benhamed (Fr., 2020, 1h39). En salle le 21 juillet

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https://www.madmoizelle.com/rencontre-avec-hafsia-herzi-pour-bonne-mere-un-sublime-hommage-a-marseille-et-a-toutes-les-meres-1144493

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Rencontre avec Hafsia Herzi pour Bonne mère, un sublime hommage à Marseille et à toutes les mères

À l’occasion de la sortie de « Bonne mère » au cinéma le 21 juillet, et de sa présentation à Cannes dans la sélection Un certain regard, Alix Martineau a rencontré la réalisatrice Hafsia Herzi.

Vous avez un pass sanitaire en poche et vous voulez voir autre chose que Kaamelott au cinéma ? Alors foncez voir Bonne mère, le second long métrage d’Hafsia Herzi qui vous en mettra plein la vue, non de la capitale, mais de Marseille bébé, et surtout plein le cœur.

J’ai eu la chance de rencontrer l’actrice et réalisatrice au Festival de Cannes où elle a présenté Bonne Mère dans la sélection Un certain regard, et j’ai été touchée de son engagement et de sa sensibilité.

Après son premier film, Tu mérites un amour, Hafsia Herzi confirme son talent de direction d’acteurs et sa patte naturaliste avec un film à son image : contemplatif et poignant.

« Bonne mère », le projet d’une vie

À Marseille dans les quartiers nord, vivent Nora et sa famille, dont elle s’occupe avec autant de dévouement qu’ils peuvent être ingrats. Son fils aîné Ellyes, incarcéré depuis plusieurs mois, attend son procès. Nora fait tout pour lui rendre cette attente la moins insupportable possible tout en gérant enfants, petits-enfants et problèmes d’argent seule.

Interprété par la magistrale Halima Benhamed, le personnage de Nora nous apparaît vivant dès la première seconde du film. Et mes impressions sont confirmées quand je rencontre Hafsia Herzi dans le hall du J.W. Marriott à Cannes.

Alix Martineau : Vous travaillez sur ce projet depuis 2007, qu’est-ce qui vous anime dans ce film, qu’est-ce qui vous a poussée à le réaliser ?

Hafsia Herzi : Ça a été ma première idée de long-métrage. J’ai toujours eu beaucoup d’admiration pour ma maman, qui était femme de ménage dans un collège. Elle s’occupait aussi de personnes âgées. J’ai grandi à Marseille dans les quartiers nord, où on a tourné. Et je me suis dit :

« Un jour, il faudra que tu filmes ces quartiers nord où tu as grandi, et que tu fasses un portrait de mère courage. »

98% de votre casting est non-professionnel, pourquoi ce choix ?

Ça a été un gros défi artistique, mais dès les premières lignes du scénario, c’était évident : je voulais des acteurs non-professionnels. Parce que je parlais quand même de la pauvreté, et avec un acteur, ça m’aurait fait perdre du réalisme ! Après c’était risqué, c’est un gros pari et un gros défi artistique. Mes producteurs ont été de très bons appuis, et m’ont très bien accompagnée pour ça. En plus, moi je ne suis pas actrice à la base. Je suis non-professionnelle, j’ai appris au fil des films. J’adore les acteurs, mais là je prends des talents, des gens qui ont un don mais qui ne le savent pas.

Marseille, ville lumière dans « Bonne mère »

Dans la sélection à Cannes cette année, de nombreux films se tournent à Marseille. Vous qui venez de là-bas, en quoi vous trouvez que c’est une ville particulièrement cinégénique ?

La lumière ! Elle est incroyable. Les habitations des quartiers nord aussi. Le quotidien des gens, où ils vivent. C’est délabré, c’est dangereux, il y a du trafic de drogues... On ne s’occupe pas de ces logements-là ! Je voulais vraiment filmer la pauvreté, et l’autre côté aussi. À Marseille, on passe un petit peu du rêve au cauchemar.

On dénigre beaucoup les accents en France, mais dans votre film, l’accent marseillais est omniprésent et réel.

On les dénigre trop ! On a peur ! Je me souviens, quand j’ai débarqué à Paris, j’avais l’accent du sud et je ratais tous mes castings à cause de ça. Pourtant, c’est la vie les accents !

Chacun a un accent différent, ça raconte une histoire.

Moi je voulais d’un film comme ça, à la Pagnol, à l’italienne. Les accents, ça se coupe la parole, il y a beaucoup de personnages, des dialogues naturalistes…

J’ai beaucoup aimé quand les personnages se mettent à chanter. Qu’est-ce qui vous émeut particulièrement dans les chants spontanés des personnages à l’écran ?

J’adore la musique, c’est la mélancolie, l’apaisement… mais c’est très difficile à filmer. J’ai eu peur à un moment, je me suis dit qu’il fallait que je me calme, sinon on partait dans une comédie musicale !

Le rap interprété par Saaphyra, c’est vraiment le fruit de ma rencontre avec elle. Elle n’existait pas dans le scénario au début, mais je lui ai écrit le personnage. Je lui ai envoyé le scénario, je lui ai dit de m’écrire une musique et que si ça marchait, on mettait la musique dans le film. Et trois jours après, elle m’envoie un son sublime. Je me suis dit que ça allait embellir le film.

C’est fort, puissant, et c’est une femme qui rappe !

Ce qu’on a moins l’habitude de voir. J’adore cette fille qui se rêve artiste, qui vit dans une cité, qui va taper des mecs pour de l’argent, qui a un talent qu’elle n’exploite pas…

Dans « Bonne mère », il n’y a pas UNE bonne mère

La Bonne mère à Marseille, c’est celle qui protège, qui culmine, qui reste debout, solide. Mais qui protège cette bonne mère, celle d’Halima Benhamed, dans le film ?

Personne. Elle est jeune, elle aurait pu refaire sa vie mais elle ne la refera pas, parce qu’elle est dévouée uniquement à ses enfants. Elle s’oublie en tant que femme, et personne ne la protège. Personne ne pense à elle, à part ses petits-enfants, la mamie dont elle s’occupe, mais sinon… Ses enfants sont un peu ingrats, mais ils sont jeunes !

J’ai l’impression que vous avez fait des portraits de plusieurs mères, sur des générations différentes, et que ça déconstruit ce mythe qu’il existerait UNE bonne mère universelle, et ça fait un pied-de-nez aux injonctions faites aux femmes sur la maternité.

C’est ça ! Bien sûr, c’est Halima Benhamed qui tient le rôle principal mais il y a aussi la jeune mère, la future mère qui est seule, la belle-fille avec son mari en prison…

C’est vraiment un film sur la difficulté d’être une mère seule aujourd’hui."

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Festival de Cannes : Hafsia Herzi présente "Bonne mère", son deuxième film de réalisatrice :

https://www.youtube.com/watch?v=-WjurFFbgOY

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Hafsia HERZI à Cannes : « Notre bonne mère de Marseille »

https://www.youtube.com/watch?v=f2IMuCnW7GY

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le 22 juil. 2022

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