Le Prince de New York par Klow
Plus le film avance, plus chaque séquence, chaque phrase, frappe comme un coup de fouet, un coup de rasoir, une baffe. On est pris aux tripes d'un bout à l'autre, tandis que les presque 3 heures de durée filent à toute allure et que la caméra se rapproche petit à petit des personnages. Jamais le concept du bien et du mal n'a été aussi nuancé. On ressort du film patraque.
Je noterai aussi l'excellente VF à laquelle j'ai jeté une oreille de temps à autre par curiosité. Tous les grands de l'époque sont là, on n'en fait plus des comme ça !