Ce film sur la prise du Cambodge par les Khmers rouges, François Bizot, un membre de l'école française d'Extrême-Orient est arrêté et détenu sans ménagement mais échappe à la peine de mort pour la foi qu'il donne sur sa version de l'innocence. cela dure tout le film, nous n'avons même pas écho de la chute des Khmers rouges. Sa femme est toujours vivante avec sa fille. Il est envoyé à l'ambassade de France avec des papiers que les Français n'ont rien à foutre, mais il est dehors. Le temps passe et le Cambodge puni ses meneurs, ses tueurs, donc Douch y était devenu le directeur de la funeste prison et centre de torture S-21 ou plus de 20 000 Cambodgiens ont été mis à mort. Et qui avait protégé François Bizot lorsqu'il était prisonnier. Maintenant c'est lui qui demande à Bizot de témoigner en sa faveur lors de son procès. Il manque énormément d'émotion et j'ai lu qu'une critique avait aussi parlé de" La Déchirure de Roland Joffé (1984) qui avait une âme et démontrait et faisait réellement ressortir, ressentir la souffrance de peuple Cambodgien. Le film est aussi un regard pour le côté historique de certaines scènes et la manière dont de très nombreux peuples d'Asie ont souffert