Ce qui est bien avec Yuzna, c'est qu'il ne va jamais par quatre chemins. Si le remplissage est bien là, l'essentiel aussi. Il n'esquive pas la scène de procréation mais garde une bienséance toute américaine.

Comme j'ai vu pire chez ce réalisateur et comme j'ai vu bien mieux aussi, que dire de Progeny si ce n'est qu'il se laisse regarder comme une sitcom horrifique qui ne connaît rien en utérus (le bébé alien circule au milieu de l'intestin grêle, ça c'est flippant).
Andy-Capet
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le 16 avr. 2013

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Andy Capet

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