J'étais cantonné à la PS3 depuis plusieurs années, et j'ai enfin la PS4 à la maison depuis ce noël. Je ne vous crierais pas sur tout les toits mon amour pour la marque Sony, car c'est pas forcément le cas, mais c'est le catalogue de jeux annoncés qui m’intéresse (les exclusivités propre à la console). Bref! Enfin ! Acheté il y a deux semaines pour 20 euros (quelle époque merveilleuse de dé-cotation des softs physiques : 5 mois et le jeu perd 50 euros ? incroyable), je viens de terminer le dernier MGS. Conclusion incroyable de cette série culte (découverte sur le tard pour ma part). C'est surement l'un des plus grand choc de ma "vie" de joueur. Sincèrement le jeu est riche, frissonnant; un pure bonheur dont je ne préfère rien dire tellement je ne trouverai pas les mots pour être juste. Ça faisait longtemps qu'un jeu ne m'avait pas à ce point hypnotisé. Un opus qui raisonne avec l'actualité de manière assez cinglante (construire une nation libre indépendante, l'apatride, la domination par la langue, la souffrance d'un membre fantôme, etc.) En restant évasif sur les différents sous-textes du jeu, c'est un MGS comme les autres malgré tout ce que vous pouvez lire ailleurs; l'openworld en plus. Mais tout y est "comme d'hab" les longues tirades étant juste devenus des cassettes audio, permettant aux cinématiques de devenir de "véritablement moments grisants". Toutes les topographies des MGS sont présente, comme si le soft rendait hommage à tout les endroits visités dans la saga. D'une manière générale, le décor est a coupé le souffle. Franchement quelle classe. Et pour en finir sur le jeu, si vous avez déjà vu cette vidéo d'un Drop dans la mare qui parle du moment dissociatif, et bien MGS est un rare jeu à openworld (à champ de bataille pour être exacte) qui permet de ne pas briser l’intérêt qu'a le joueur pour ce monde persistant. Et ce, grâce à sa fin qui rend véritablement hommage au statut de joueur. Bravo encore, c'est fou.