"C'est le jeu qu'est dur ou c'est moi qui suis nase?"

Annotation :

Tu ne peux pas toucher quoi que ce soit et rien ne peut te toucher non plus sinon c'est instant death. Le jeu est perclus de non sens de level-design (des objets du background qui tuent ou pas fonction de ce que les devs ont fait ou pas). Et puis surtout, les patterns sont incompréhensibles et les projectiles tellement petits qu'on ne peut pas les voir. Franchement, on peut se penser "hardcore motherfucker", mais on l'est pas tant qu'on a pas goûté à ça.

Annotation :

Repop d'ennemis, plus glitchs, plus timings tendus, plus tu recommences le niveau quand tu fail. La trilogie complète est une putain de purge. Comme dirait AVGN "pick your poison motherfucker"

Annotation :

Les persos qui te racontent de la merde, le level design qui part en sucette (bien avant les autres Metroidvania) le fait que comme dans le premier tu tombes en arrière quand tu prends un coup (ce qui donne du One Shot si t'es au bord de l'eau ou d'un précipice), et surtout les dalles piégées partout...oh my god! Et le pire c'est que Boss de fin est une vraie crème. A chier du gravier pendant tout le jeu, sauf pour le dernier ennemi.

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Comme Simon's Quest mais on enlève l'aspect "je vais où là maintenant". Et le boss final rigole pas par contre.

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Celui là, c'est pas compliqué, je ne sais même pas si on peut le finir avec un perso orienté stealth/diplomatie sans utiliser la console. Déjà, le jeu est plutôt chaud, à cause du système de combat médiocre qui joue sur des hitbox étrange et une imprécision chronique dans les coups. Seulement en plus, le jeu combine parfois cette faiblesse qui est gérable contre la plupart des boss (en exploitant l'IA aux fraises) avec un level-design à se pendre. Vampire contient à ce sujet LE PIRE NIVEAU auquel j'ai jamais joué: les égouts. Déjà, c'est des égouts. Mais alors c'est long, c'est infernal, on se fait agresser tout le temps, et en plus ça fait suite directe à un boss, donc on est un peu vidé niveau ressource.
Mais si c'est le niveau le plus rébarbatif, ça n'est pas le plus dur du jeu. Le plus dur démarre vers la fin, où le jeu part en sucette complète: des dizaines d'ennemis dans des couloirs étroits où on se fait encadrer et/ou surprendre par des embuscades à la con, ou alors des endroits super larges où on ne touche jamais les ennemis de loin (la faute au système RPG qui fait qui si on a pas tous l'xp dans une arme, elle tire avec une dispersion surréaliste) et surtout où on ne peut pas se cacher. C'est dans les deux ou trois dernière heures de jeu que j'ai abandonné l'idée de le finir à la loyal et que je me suis rendu invincible et capable de traverser les murs...voilà voilà. Ah oui et c'est buggé jusqu'à la moelle aussi pour ne rien arranger.

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La somme de puzzles à résoudre est démentielle et la difficulté va crescendo assez rapidement. Mais ce qui rend réellement The Witness aussi dur, c'est le fait de ne pas réellement pouvoir "skipper" un puzzle en regardant la solution au risque de ne simplement pas comprendre la mécanique derrière et de se retrouver coincé plus loin. Et quand les mécaniques se combinent, c'est la migraine assurée.

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Les sauts à se pendre, le passage du barrage qui est juste LÉGENDAIRE, et surtout l'inutilité de trois tortues sur quatre (seul Donnie a une "range" suffisante pour la plupart des combats...et Leo à la rigueur), le tout sans continue...faut voir la tronche de la fin du jeu (sur Youtube hein, vous n'y arriverez pas) contre le Technodrome, c'est juste la folie au point que la NES fasse une crise d'épilepsie tellement il y a de sprite à afficher.

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Pour le coup, faut s'acharner surtout, mais franchement c'est des heures d'entrainement pour ne pas mourir pour un rien. La taille des projectiles n'aide parfois pas non plus à s'y retrouver, mais dans l'ensemble c'est un challenge assez juste. Dur comme une trique, mais juste.

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Avec des faux airs de jeu de plateforme et sortie sur la console de la plateforme 3D (les série Jak&Daxter, Ratchet&Clank, Sly Racoon etc) c'est un piège tendu aux gros noobs. En fait il reprend la difficulté de ses prédécesseurs. On meurt super vite (rien que les premiers passages on tombe mille fois dans la lave) un nombre de fois de dingue et ce même en maîtrisant le jeu comme il faut. Il faut des nerfs d'acier pour en venir à bout, mais quand c'est fait...priceless

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Comme Maximo, IT'S A TRAP! Tu crois que tu vas t'éclater dans un jeu d'action nerveux, mais non tu vas te faire pourrir par une armée de ninja vénère. Alors oui c'est jouissif, mais certains passages sont à casser des pads en deux. La vraie différence d'avec la génération 8bits c'est que le challenge ne se base pas sur des morts cheapos (en tombant en arrière dans un précipice) mais bien sur le skill.

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HARD AS FUCK. Faut au moins être RainMan pour arriver à passer la première mission. Par contre une fois que c'est fait, on se sent surpuissant.

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J'ai cru comprendre que le précédent était plus dur. J'ai moyennement envie de le tâter du coup, parce que pour le coup, c'est comme Maximo, la mort arrive vite et souvent. J'en garde un souvenir bien dingue.

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J'ai longtemps cru, traumatisé que j'étais, que c'était moi la sous-merde et que je ne savais pas jouer. Mais depuis que le JoueurduGrenier en a fait un test, ça été une thérapie. Le timer à se pendre, les niveaux qui n'ont aucune logique, la hitbox du pauvre, les plateformes qui sont fondues dans les décors et cette scène d'escalade...ROH PUTAIN cette scène d'escalade!!!

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Du par coeur. C'est limite du Dragon's Lair like. Faut juste savoir quoi faire précisément à quel moment et ça passe...sinon c'est la mort.

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Ultra long, ultra buggé et sans rire, mais tellement dur! Les sauts au poil de cul, parfois simplement basés sur la chance à cause d'une level-design super hasardeux comparé aux deux premiers (t'espère pas crever en sautant dans un trou et une fois sur dix, ça passe) les combats rédhibitoires et bien lourdingues...et la zone 51 est dans mon top des niveaux les plus incompréhensibles jamais fait.

Globalement, c'est la défaite du level-design et sans code, tu peux pas finir ce jeu.

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Par les créateurs de Another World. Donc c'est le même délire, du pur die and retry à l'extrême.

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Pour frapper tu utilises le joystick droit...voilà. Ah oui et avec ces contrôles de merde sans gestion de la caméra, tu dois tuer des T-rex à coup d'épée lourde sa mère et d'arbalètes qui mettent mille ans à se recharger. Bonne chance!

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Le jeu où quand t'as pas sauvegardé entre deux combats et que par malheur tu lances le combat suivant, tu te sens dégoûté de la vie tellement tu sais que tu vas te faire pourrir et que t'auras non seulement ce combat à refaire, mais aussi celui d'avant. Ah les merveilles du NO CONTINUE.

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De l'arcade à l'ancienne. Le but c'est que tu meurs vite, submergé par les ennemis pour que tu remettes des pièces dans le monnayeur. Sauf que les devs ont pas capté que t'es chez toi et que t'as pas d'argent à mettre dans ta console donc que c'est pas nécessaire de te faire crever aussi souvent.

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C'est en anglais, c'est sur gameboy et sans rire, j'ai jamais passé le premier niveau. Il est bien hein, mais putain! Le premier niveau quoi!

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Ouais...non mais faut l'essayer c'est tout.

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Donc vous essayer de résoudre un rubik's cube, et moi je vous jette des trucs à la gueule, je vous changent vos combinaisons et je crie dessus en même temps...c'est facile hein!

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À cause d'une IA parfaitement aux fraises, d'un level design qui confine à la connerie par moment et d'un manque de maîtrise généralisé de l'idée de départ (qui s'améliorera incroyablement dès le second opus) la plupart des missions de Hitman sont bien tendues et deux d'entre elles sont des purges incroyablement difficiles en mode hard.

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Une heure quarante pour battre un Verre géant. Trente minutes pour le moindre combat de base pour du leveling. Je me suis fait botté le train par deux soldats et un cavalier pour défendre une fleur...bref j'ai pas dépassé le premier DVD et j'y reviendrais jamais.

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C'est pas si dur que ça Demon's Souls. Si on est prudent ça peut se passer pas trop mal. Ceci dit, les fantômes noirs qui nous envahissent et qui sont stuffé comme des porcs, les chutes mortelles planquées dans l'ombre, les pièges à con en veux-tu en voilà, et un boss qui t'enlève des niveaux O_O MAIS WTF?! Donc t'as perdu et en plus pour le ré-affronter t'es encore plus faible que la première fois.

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En fait c'est comme Demon's Souls, mais c'est en monde ouvert, donc aux difficultés que je liste plus bas pour Demon's Suols, on peut ajouter le fait qu'on se perde et qu'on tente des zones sans le vouloir qui sont SUPER TROP MEGA DUR pour notre niveau. Ah oui et après trente heures de jeux où tu commences à bien tout maîtriser des subtilités, t'arrive au boss final et il te défonce si t'as fait un build basé sur les dégâts de feu! (ce qui était mon cas sur mon premier run)

Annotation :

Le jeu étant basé sur beaucoup de RNG, il y a une vraie part de jeté de dés dans l'histoire. Mais le fait est que j'ai souvent l'impression de me faire rouler dessus dans FTL, ne sachant pas trop comment m'y prendre pour devenir meilleur. Même quand j'ai l'impression de me démerder en terme de combat, je dois probablement mal me servir de mes ressources. Toujours est-il que même en "easy", je n'ai jamais vu le boss final.

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Beaucoup de réflexion et de dextérité pour le finir. C'est pas si dur que ça dans l'absolu, mais parfois la solution est putain de tordue. Le jeu a également son nombre de morts obligatoires pour comprendre un problème. Ah et faut voir aussi qu'il y a trois fin et si on sauve pas tout le monde, on a des fins de merde qui nous dégoutent. Et là pour sauver ses potes, c'est une autre galère!

Annotation :

Les contrôles sont loin d'être fluides, et les boss sont parfois bieeeeeeeeeen relous! Rien que la statue du second niveau. En plus il faut bien comprendre que c'est de la plateforme souvent au millimètre qui se finis régulièrement dans des piques ou dans le vide.

Annotation :

Le jeu demande pas mal de précision et d'essais/erreurs pour la partie plateforme. Globalement, ça reste très jouable comme le premier volet sur ce point. CEPENDANT, cet épisode marque une différence notable d'avec le premier: il a quelques niveaux beaucoup plus orientés combats (Venise et le Tibet notamment) et avec le gameplay de l'époque, c'est souvent le gang-bang à la première rencontre et le rechargement quelques mètres plus tôt pour savoir comment tuer tout le monde sans mourir. Également, le jeu ajoute beaucoup plus de séquences avec de nombreux pièges à con où il faut mourir au moins une fois pour savoir qu'il y a un piège (puits sans fond, lave, piques etc.). La dernière partie est d'ailleurs assez maboule dans le genre. Résultat, une bonne centaine de sauvegardes avant d'arriver au Tibet et au moins 200 pour finir le jeu ensuite. Pas simple quoi!