Les pleurs du mâle
je m’enferme souvent dans ces toilettes où la lumière s’allume automatiquement et colore ma peau du même jaune que ces types au foie défectueux dehors ces hommes que j’appelle collègues se...
Par
le 25 avr. 2013
31 j'aime
6
Créée
le 17 mai 2012
Critique lue 603 fois
3 j'aime
3 commentaires
D'autres avis sur Les jours s'en vont comme des chevaux sauvages dans les collines
je m’enferme souvent dans ces toilettes où la lumière s’allume automatiquement et colore ma peau du même jaune que ces types au foie défectueux dehors ces hommes que j’appelle collègues se...
Par
le 25 avr. 2013
31 j'aime
6
Poésie 1. 2ème partie ici :https://www.senscritique.com/livre/Fight_Club/critique/256827565 La chaleur entrait par les persiennes Et diffusait une vapeur collante Dans le grand open space L'odeur...
Par
le 9 oct. 2020
8 j'aime
10
J'ai souvent eu envie de lire autre chose que la prose de Buk. Et bien c'est raté. Puisque ici les vers sont rares et que même lorsqu'il se mue en poète, l'homme écrit en prose. Décidément ... Plus...
Par
le 17 mai 2012
3 j'aime
3
Du même critique
Ce livre est très prenant, des premières lignes jusqu'aux dernières. On suit Linhart qui occupe différent poste de l'usine et décrit précisément ce qui s'y passe: la hiérarchie, les cadences, le...
Par
le 17 mai 2012
8 j'aime
J'ai lu ce livre sans trop de surprises, connaissant déjà quelque peu son contenu. C'est donc une étude de sociologie de la déviance sur les musiciens de jazz et les fumeurs de marijuana. Je trouve...
Par
le 17 mai 2012
6 j'aime
2
Paris, 2052. François Deschamps, jeune ingénieur en agronomie, vit dans un monde parfait. Le progrès scientifique a rendu la vie des hommes paisible, sans accrocs et parfaitement nettoyée de toute...
Par
le 17 mai 2012
6 j'aime