Histoire d’un bénêt touchant, Mattis, vivant avec sa sœur aînée près d’un lac. Tout le long du livre, dans le cadre idéal d’une Norvège bucolique de vers la moitié du XXème siècle, il vaque à ses rêveries et à ses déductions au travers de sa perception de la réalité, voyant des signes par les allers et venues d’une bécasse où par un arbre ayant reçu la foudre. La venue d’un bûcheron qu’il a accueilli ne lui présage rien de bon, se sentant à l’écart quand sa sœur, Hege, s’éprend du nouvel hôte.
Les Oiseaux est considéré comme le plus grand livre de Tarjei Vesaas, duquel j’ai lu un autre de ses livres, Le Vent Du Nord, qui ne m’avait pas emballé et que je n'ai pu en finir la lecture.
Sur celui-ci, la même impression d’ennui s’est également manifestée sans que je comprenne pourquoi. Le rêve promis de quatrième de couverture était alléchant, mais j’ai malheureusement eu peine à m’accrocher jusqu’à la fin.