Le chien est sale, il se lèche tout le temps le trou de balle.
Le chat se nettoie partout, même entre les coussinets.
Si les humains le pouvaient, ils se lècheraient le derche toute la journée.
Au pays des borgnes, les stéréoscopiques sont mal vus
(proverbe Sioux)
https://www.youtube.com/watch?v=mJL4owTxx4c
La relation avec le chat n'est pas à sens unique.
Le chat est un parasite couvert de parasites,
qu'il partage avec ceux qu'il parasite.
https://static.rogerebert.com/uploads/blog_post/primary_image/scanners/continuing-to-argue-for-the-irrelevance-of-my-own-opinions/primary_cleverfilmcritic-thumb-510x494-47795.jpg
Quand le chat râle, les sourds rient.
Si je changeais de pseudonyme...?
Mireille Darc Mirror? L'abbé Gulosi? Darkévin?
J'ai des images de rats cyborgs géants plein la tête.
La religion, la politique, l’art sont quelques domaines privilégiés d’expression de la folie humaine, autrement appelée culture. N’accordons pas trop d’importance à ces délires, quand même.
Lorsque nous étions moins d'un milliard, nous pouvions circuler à peu près librement. Désormais nous sommes parqués dans des Etats, des quartiers, des camps.
Les fleurs, ce sont les plantes qui se font belles pour les abeilles.
Tout communique, tout est dans tout, aucune substance n'est isolée et on commence seulement à l'admettre dans l'occident sauvage qui prétend inventer la notion de ''care'' après avoir détruit toutes les solidarités traditionnelles, et la ''pollution'' est partout, car la pollution n'est constituée que de ces éléments qui n'ont aucune place dans l'équilibre naturel, et par principe, c'est TOUT ce que créent les laboratoires et les usines. La ''crise'' de l'épidémie covid met en avant certaines tares de nos sociétés où sont mises sur le ''marché '' chaque année, répandues dans le monde des substances testées seulement par ceux qui les commercialisent. L'opposé de la démocratie, cette absence de contrôle des peuples sur ce que l'on fait au monde est l'anarchie dans son sens destructeur.
Les abeilles butinent et ce faisant ne détruisent pas les arbres mais au contraire les servent tout en bénéficiant de leur prodigalité. Sur le plan éthique, c'est le modus vivendi auquel nous devrions aspirer. Mais si l'exploitation et la domination guident nos pas depuis trop longtemps pour que ça change, alors vivement la prochaine épidémie. Persévérer dans son être aux dépens de toutes les autres formes de vie, est méprisable.
Ce serait indigne, s'il restait le moindre soupçon de dignité auquel pourrait prétendre l'humanité.
''C'est dégueulasse''
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Non content de m'apprendre qu'il n'a rien à dire sur le cinéma, dans un entretien...
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