
Cet album, il faut l'écouter à 8h, au réveil avec une tasse de café fumante, tu sais cette odeur qui grise l'esprit encore brumeux de la nuit ? Il y aurait un grand soleil orange sur une table en bois, et il pleuvrait des haikus. Ca commence doucement avec Man On Fire, Edward te berce encore un peu avant de sautiller énergiquement dans son costume blanc. Mais tu t'arrêtes avant la dernière... Lire la critique de Here