Critique de Big Fish par Post_Automata
En bornant sa matrice fantasmagorique aux illusions d'un original, Burton met le design au service du récit : là, jaillit la poésie.
le 17 avr. 2025
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En bornant sa matrice fantasmagorique aux illusions d'un original, Burton met le design au service du récit : là, jaillit la poésie.
le 17 avr. 2025
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Ce Batman de scotch et de cuir excelle côté polar, mais son romantisme laisse de marbre. Très (trop ?) ambitieux.
le 5 avr. 2025
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Une adolescente traverse, lunaire, un Japon fantomatique, et parcourt - divinité online - les limbes du cyberspace. Present day, Present time.
le 5 avr. 2025
Pénitence de la douceur, Ivresse de la douleur ; dans la poubelle des âmes surnuméraires brûle la carte mentale du Joker.
le 5 avr. 2025
"Hannibal" expose les beaux-arts du mauvais goût. Casting orgiaque sur pellicule organique. Et le baroque l'emporte sur le psychiatrique.
le 3 avr. 2025
Fresque de feu et d'acier, "MMFR" terrasse le superflu, rompt avec la misogynie et laisse Junkie XL dégainer l'opéra-rock. Moderne. Furious.
le 3 avr. 2025
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