Quand la dystopie flirte avec le vaudeville (et s’emmêle un peu les pinceaux)
Si tu pensais que Margaret Atwood ne pouvait pas écrire autre chose que des dystopies glaçantes et ultra-maîtrisées, C’est le cœur qui lâche en dernier est là pour te prouver qu’elle peut aussi mélanger satire sociale, comédie noire et grand