2012 sera l'année de KADAVRIK. C'est tout du moins les paroles houleuses qu'on retrouve dans le dossier de presse. Soit, encore faut-il connaître le groupe en question. Et ça, c'est une autre paire de manche. Il n'y a pas à cracher dans la soupe pour autant, si la qualité était étroitement liée à la popularité, nul doute que le marché musical serait bien différent qu'il ne l'est actuellement. Et il n'y aurait vraiment aucun intérêt à aller sentir l'humidité gerbative des caves, ou l'odeur de tabac froid et vieille vignasse des garages pour atteindre le nirvana auditif. Alors, ces représentants d'Outre-Rhin de "death metal mélodique", arriveront-ils à réaliser cette prouesse ? Bonne question, mais il ne faut pas perdre de vue que le défi est complexe, la voie qu'ils suivent ne manquant pas de concurrence, même si maintenant le phénomène qu'on a pu observer autour du death mélodique il y a quelques années, semble un peu passer de mode.