Etre originaire du comté de YOLO en Californie, survivre à un cancer des testicules et continuer à produire des albums d'une telle beauté, ça ne s'invente pas. Pour avoir donner pour son rétablissement, je ne regrette pas mon investissement. Blague à part, Will Stratton renoue avec la finesse de l'album qui l'a fait connaître : Post Empire (2012). Les arrangements subtils et la voix fragile de l'américain font du songwritting inspiré qu'est Rosewood Almanac un objet à entourer de toute la tendresse bienveillante qui est la notre.