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Ils sont des livres dont on se souvient toute sa vie. Mais avec un sentiment de satisfaction modéré, tiède. Celui-ci en fait partie. Et pourtant il était précédé d'une belle réputation - due à de...
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le 7 juil. 2021
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Après "Dead magic", j'attendais beaucoup de cet album.
Quelles innovations ? Allais-je retrouver l'univers horrifique ?
La pochette le laissait penser.
Elle est l'image de la sculpture "La porte de l'ogre" des jardins de Bomarzo dits le Parc des monstres (construit au XVIème siècle dans le centre de l'Italie).
Soit dit en passant, le voyage semble valoir le détour.
Chacun des titres est donc l'évocation de l'univers du parc ou d'une oeuvre qui jalonne les Jardins.
Revenons à la musique.
On retrouve majoritairement l'orgue d'Anna entourés de ronflements dignes de machine ou de créatures extraordinaires ou de percussions diaboliques.
Point de chant quasi liturgique. L'album est 100% instrumental.
L'univers - s'il a le mérite d'être homogène - n'offre finalement qu'un ensemble un peu redondant, sans aspérités.
Parenthèse dans l'oeuvre de l'artiste ou tournant dans sa carrière ?
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Créée
le 24 mai 2021
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le 7 juil. 2021
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Je n'ai que trois choses à enseigner : la simplicité, la patience, la compassion. Je ne m'attendais pas à retrouver une sagesse aussi terrienne dans le Tao te king. Bien sûr, le symbolisme et...
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