Alors alors, que vaut cet Aries que j'ai pour le moins très attendu?
Et bien j'ai été un peu déconcerté. J'avais, tout le long du morceaux, l'impression d'entendre Tranz mais un petit peu boosté à la synthwave. C'est quelque que chose que j'apprécie plutôt chez Gorillaz, quand maître Damon tente de faire de la synthwave, ça marche souvent plutôt bien. Le morceau est entrainant, tout s'enchaine bien, le refrain est catchy à souhait, et je dirais même plus catchy que celui de Désolé.
Pour l'instant, je dirais que les trois morceaux sont à peu près égaux, et en cette période de confinement, ça fait un peu de bien de voir un clip prôner l'évasion et le je m'en foutisme à plein nez. Ce n'est pas pour rien d'ailleurs que je trouve que le clip, malgré le fait qu'il donne une petit peu plus le beau rôle aux personnages fictifs qui étaient un peu absent des derniers clips (C'est toi que je regarde Momentary Bliss), et bien ça fait du bien, mais ce qui me dérange le plus reste la colorimétrie, choix artistique pour le moins... Douteux.
Et avec en prime un petit brisage du quatrième mur plutôt sympathique.
Je dois dire cependant que Gorillaz m'avait surtout marqué par le fait que beaucoup des intervenants soient des intervenants vocaux, m'ayant fait découvrir de nombreux groupes et chanteurs à travers leurs albums. Du coup... Un bassiste? Alors que le coeur du concept est que le bassiste est irremplaçable (Règle brisée au profit du Lore par The Now Now)? Bah, de qui je me moque, bien sûr que j'irais écouter le groupe de Peter Crochet, New Order (New order, new wave, synthwave... Mhhh Logique).
Bon, je me demande ce que nous réserve le prochain épisode, et comme dirait l'autre: "stay safe, stay home, and keep washing your hands".
Merci 2D. Et le morceaux est bien. Et ça fait du bien de le réentendre à nouveau sur un nouveau morceau.