Ils mettent mes limites à l'épreuve
J'adore le rap expérimental, vraiment, mais quand il est agréable aux oreilles c'est encore mieux (et là c'est pas toujours le cas)
le 25 janv. 2022
Cet album a l'air d'être un très gros terrier de lapin, et je pense qu'à la première écoute on ne fait que planer au dessus de l'iceberg qu'est By The Time I Get To Phoenix.
Les prods sont très perturbantes et perturbées, tout est choppé, accéléré, ralenti, glitché, pitché de partout et retourné dans tous les sens, mais cela reste bien fait et je trouve ça plus fascinant qu'autre chose.
Album à réécouter pour en savourer chaque détail et chaque émotion transmise, parce que mon dieu il semble y en avoir de l'émotion à transmettre.
Malgré ces prods très cyber, l'album a une aura monstrueuse de dépression et de tristesse, comme une ombre qui plane au dessus de l'auditeur, mais ça se comprend quand on sait que le chanteur Stepa J. Groggs est mort pendant la conception de l'album, entre autres événements difficiles de 2020.
(05/09/2025 -> 7/10)
Créée
le 5 sept. 2025
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J'adore le rap expérimental, vraiment, mais quand il est agréable aux oreilles c'est encore mieux (et là c'est pas toujours le cas)
le 25 janv. 2022
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le 5 sept. 2025
Au Mardi 26 août 2025 : 7/10 Cette note est susceptible de changerÀ ce niveau-là cette critique n'est plus à chaud mais à brûlant vous êtes prévenus.J'ai regardé ce film avec mes potes en vacances...
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