Donc Elizium, pur chef d'oeuvre, troisième opus de Fields of the Nephilim. Tout bonnement magique, aérien, stupéfiant ! Huit morceaux qui se succèdent tel un roman, quelle performance. Une perf d'autant plus remarquable quand un album concept délivre huit perles qui s'enchainent musicalement et textuellement.


Je pourrais faire une petite analyse de chaque morceau, mais comme à mon habitude, je préfère rester dans la concision et ne pas trop en dire pour ceux qui n'ont jamais écouté ce monument.


La basse y est prépondérante, la voix grave (non gutturale) de Mc coy ferait passer Andrew Eldricht pour un soprano, les guitares sont lunaires.


Si vous avez la chance de ne pas connaitre, je vous envie quant à votre future écoute...

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le 13 sept. 2018

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