Fire of Love (1981). Une déflagration ! Gun club, revendiquant l’influence du mythique robert johnson entreprend de revisiter le blues et ca fait des dégâts. Car c’est un blues chauffe a blanc, électrique, qui nous est proposé, d’un extrémisme qu’on ne rencontrait guère a l’époque que chez the cramps. D’ailleurs JLP dédie une chanson, « for the love of ivy », a poison ivy la guitariste et compagne de lux interior chanteur du groupe. Le tout est d’une rare intensité, JLP est habité, possédé par ses compositions, les thèmes sont d’une grande noirceur et le disque lamine tout sur son passage. Pas un seul morceau n’est ne serais ce que moyen !