Horrible.
Là... Tout à l'heure. Au jazz festival de Sète. Venu pour Thomas De Pourquery, il a fallu avant, subir 1 h de cette grosse femme déprimée à mort. Chaque instant, je craignais qu'elle ne sorte un flingue pour se foutre en l'air sur scène.
Une femme à la grosse voix jugeant nécessaire de nous livrer à ses vindictes égotiques, à ses problèmes psychologiques, et d'en faire des caisses et des containers dans un show primaire et bestial.
Comme si on était responsable de son mal être.
C'est ultra vulgaire et violent. Aigri, aigre, obèse d’obscénité, anorexique d'empathie.
La musique est hyper pauvre. Plutôt du blues minimaliste, geignard et lourd, avec des progressions basiques un milliard de fois entendues, qui n'a que très peu à voir avec du jazz. Grosse voix de poissonnière qui n'évoque rien de poétique. Rien de sympa. Rien d'engageant.
Le contraste avec Thomas était hyper cruel. Mais bon. La nana avec ses fuck qu'elle adresse à la vie tout en la trouvant belle, n'est qu'incohérence sur pattes.
Sarah Mac Couilles !
Si tu veux faire dans la catharsis, essaye de transcender l’horreur de la vie en beauté, pas le contraire...