Reprise en main par Steve Albini, la franchise japonaise revient avec classe et profondeur avec ce Hymn To The Immortal Wind d'une beauté saisissante. Avec l'aide d'un orchestre de chambre, Mono compose ici de magistrales pièces étendues, suffocantes dans leurs montées, où la beauté contemplative se trouve chargée d'une hardiesse contagieuse.
Kristoffe
8
Écrit par

Créée

le 23 déc. 2011

Critique lue 296 fois

1 j'aime

Kristoffe

Écrit par

Critique lue 296 fois

1

D'autres avis sur Hymn to the Immortal Wind

Hymn to the Immortal Wind
Nordkapp
9

Everlasting Light

Les mots sont parfois bien pauvres pour décrire les plus grandes idées. Vaine tentative de poser des mots sur les délicieuses sensations que procure cet album, ma critique est sans doute destinée à...

le 15 mars 2014

23 j'aime

17

Hymn to the Immortal Wind
BiFiBi
10

Conversation fantasmée avec moi-même, I

... des gouttes de pluie tombent témérairement et sans possibilité de s'arrêter vers leur mort, un suicide collectif façonnant la toundra détrempée, notre destination ; nous tombons vers l'inévitable...

le 20 déc. 2011

20 j'aime

2

Hymn to the Immortal Wind
B0mbii
9

"Wind of Change"

Maudit vent qui souffle éternellement, ici, il s'est arrêté, la fin d'une ère. Le manichéisme est brisé, la musique l'emporte. Quelques brises gentillettes caressent les cheveux des petites filles...

le 10 sept. 2014

11 j'aime

2

Du même critique

Sound of Silver
Kristoffe
10

Critique de Sound of Silver par Kristoffe

Impossible cette année d'être passé à côté de l'album du new-yorkais James Murphy et son LCD Soundsystem rythmé, halluciné, excellemment construit et génialement inspiré. Si le premier opus éponyme...

le 24 déc. 2011

14 j'aime

Crystal Castles
Kristoffe
9

Critique de Crystal Castles par Kristoffe

Les Canadiens de Crystal Castles sortent d'un peu nulle part pour s'imposer un peu partout, par leur marginalité, non pas stylistique, mais bien fondamentale. Dans un monde électronique et baroque,...

le 23 déc. 2011

14 j'aime

Dead Man’s Bones
Kristoffe
8

Critique de Dead Man’s Bones par Kristoffe

Comme dans Half Nelson, Ryan Gosling, son regard et sa voix tombants, incarne au sein de Dead Man's Bones un désenchantement permanent, ponctué de grâce juvénile, sorte d'appels d'air réguliers dans...

le 23 déc. 2011

13 j'aime