le 19 mai 2014
Lisez ma critique je vous prie
Quatre fois que je l'ai terminé ce jeu. Ouais mon pote. Quatre fois dont trois fois de suite. Aussitôt terminé aussitôt relancé. Véridique. Rarement un jeu vidéo m'aura rendu autant maboul. Jamais en...
Application SensCritique : Une semaine après sa sortie, on fait le point ici.
C'est une voix chaude et vibrante qui te parcoure l'échine. Une voix déclamant ses complaintes du fond d'un gouffre, amplifiée par les profondeurs parcourues. La voix d'un homme qui a choisi les mauvais chemins, les mauvais amis. Un homme qui s'est perdu corps et âmes dans des mers insondables, où la raison n'a plus pied.
C'est le récit sans rage et sans amertume d'un être humain qui s'est abîmé dans la folie, le récit d'une vie décharnée, d'une boîte crânienne qui se déglingue de l'intérieur. Le récit d'un être humain rempli de vide et qui ne se reconnait plus. La confession d'un rien du tout aspirant à redevenir quelqu'un.
C'est la descente en enfer et sa remontée. Eurydice et Orphée.
C'est l'histoire d'une rédemption. L'histoire d'un gamin qui a décidé de changer sa vie. Un gamin qui a imploré de l'aide, une main secourable pour le décharger de sa pesanteur.
C'est l'histoire d'un sauveur. L'histoire d'un sauvé.
C'est le besoin de dire merci. Le merci qui veut dire pitié.
C'est la voix de l'espoir qui te chante à l'oreille pour te dire que tu n'es pas seul. C'est le compagnon impalpable qui t'escorte et te fait comprendre que rien n'est jamais perdu.
C'est la pulsation d'un cœur invaincu mais malmené. Le coeur de Quetzalcoatl, ce souverain qui s'immola par remords après avoir été chassé des hommes, et dont le cœur s'échappa des cendres pour renaître dans les cieux sous forme d'étoile du matin.
Cette étoile c'est aussi Dave Bixby.
C'est le jour qui commence, au bord de la nuit.
https://www.youtube.com/watch?v=NUS0981IoZ8&list=WL9F893438271F6789
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à ses listes Les 100 disques qu'il faut avoir lus une fois dans sa vie pour se prétendre cinéphile, Si dans 100 ans la moitié de ces disques n'a pas atteint les 50 notes, je bute le chat et Hé ! les mecs de SensCritique, mon badge de maçon, c'est pour quand ?
Créée
le 10 avr. 2014
Critique lue 475 fois
le 19 mai 2014
Quatre fois que je l'ai terminé ce jeu. Ouais mon pote. Quatre fois dont trois fois de suite. Aussitôt terminé aussitôt relancé. Véridique. Rarement un jeu vidéo m'aura rendu autant maboul. Jamais en...
le 12 mars 2014
Je n'ai rien contre la connerie. Oh ! que non. Pour preuve quand j'avais à peu prés quatre ans j'ai failli périr électrocuté. J'avais deux aiguilles en ma possession. Je me faisais chier. En fin...
le 15 août 2014
(Attention : Cette critique contient sans doute un peu de spoil, et assurément pas mal de conneries). Tu veux que je te dise comme ça, entre nous, ce que j'en pense du bien et du mal que je lui ai...
NOUVELLE APP MOBILE.
NOUVELLE EXPÉRIENCE.
Téléchargez l’app SensCritique, explorez, vibrez et partagez vos avis sur vos œuvres préférées.

À proposNotre application mobile Notre extensionAideNous contacterEmploiL'éditoCGUAmazonSOTA
© 2025 SensCritique