décevant
Difficile pour moi de comprendre la quasi unanimité critique autour du film de la réalisatrice Carole Vignal dans lequel on suit une femme partie randonner dans les Cévennes sur les traces de son...
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le 20 sept. 2020
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Quand on aime Nick Waterhouse c’est pour la vie ! Car si l’on succombe au charme rétro des chansons proposées par ce Californien depuis plus de 10 ans à travers des albums assez irrésistibles, on se régalera une fois encore avec Promenade Blue, une production que l’on jurerait sortie entre les années 50 et 60 chez Motown ou ailleurs.
Au programme, du rock endiablé et surtout morceaux Doo-wop, rhythm’n’blues irrésistibles. Une collection de chansons, pour certaines aux allures de standards intemporels, dans lesquelles il sera question des souvenirs d’adolescence du chanteur, dans sa ville natale de Santa Ana.
Le disque a été enregistré en compagnie du producteur Paul Butler (Michael Kiwanuka, Devendra Banhart) et regorge d’arrangements de cordes et de chœurs amples et généreux. Bref, encore une jolie réussite pour ce chanteur musicien dont chaque album ressemble à un Retour vers le futur, nous propulsant comme Marty McFly dans cette Amérique des années 50 si chère au cinéma.
Créée
le 4 mai 2021
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